Ahhhhh, Flashdance.
L'histoire d'Alex la "soudeuse danseuse de Pittsburg qui tombe amoureuse du directeur de l'usine" n'a pas passé le filtre du 21ème siècle, n'est pas entrée au panthéon des films dansés comme Fame et la fièvre du samedi soir.
Quel dommage. Du Ken Loach américain, c'est assez rare pourtant...
Du kitsch pur jus. Un vrai bonheur.
Evidemment j'avais 13 ans, je rêvais d'avoir les cheveux et le look de Jennifer Beals et évidemment, j'avais taillé mon justaucorps de danse pour le rendre aussi échancré sur les hanches que l'héroïne lorsqu'elle s'entraîne au soleil tombant dans son loft au retour de l'usine (??).
A bien y réfléchir, mes efforts devaient être un chouille... optimistes.
Et la bande son. Du béton armé pur jus 80's.
Allez, pour vous réconcilier avec Irène Cara et son "ouatt eu filiiiiiiiiing", incontournable scie de la soirée RFM année 80 - celle qu'on écoute dans les embout' du samedi soir en rentrant du ciné - une version super remasterisée lounge chantée par Yaël Naïm. Les hôtels Costes vont adorer.
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