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vendredi 13 octobre 2017
Oxymore (is never enough)
Oxymore : figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires (Exemple : un silence éloquent). Dictionnaire Larousse
Il y a comme ça des alliances qui paraissent impossibles et qui pourtant, quand on s'y colle avec un peu de curiosité, se mettent à fonctionner comme des pièces de puzzle parfaitement emboitées.
vendredi 9 juin 2017
L'amour, toujours l'amour
C'est la fille qui a grandi en écoutant la musique qui sortait de la chambre de ses grands frères, qui a somnolé tous les samedis soirs devant les Enfants du Rock et qui trouvait que le summum du cool à 14 ans était de prendre le bus le mercredi après-midi avec son imper Burberry, une boucle d'oreille en plastique bleue pendante à l'oreille et ce titre là de David Bowie à fond dans le walk man Sony. Qui avait un t-shirt Simple Minds coupé au dessus du nombril et collait des photos de chanteurs sur ses cahiers de maths.
C'est la fille qui ne pouvait pas passer une journée sans écouter de la musique. Qui se souvient très bien de tous les 33 tours achetés avec ses sous et qui se souvient très bien aussi de son premier 45 tours, de la bande son de l'été de ses 15 ans, et aussi de ses 16 ans, et de chaque année après.
C'est la fille qui a grandi et qui, petit à petit, a écouté moins de musique, a préféré courir en écoutant des podcasts, a arrêté d'aller aux concerts et a râlé en voyant ses enfants scotchés à leurs écouteurs.
A une exception, près.
C'est la fille qui, quelques années plus tard, ce matin, à 9 heures a téléchargé le nouveau disque de Phoenix sur iTune sorti ce matin même. Qui l'écoute sans aucune objectivité parce que tout à coup son âme de groupie se réveille. Qui cherche ses écouteurs pour l'emporter dans le train tout à l'heure. Et qui a pris des places pour leur concert comme pour les 4 albums précédents. Alors même que leur venue à Paris coïncide avec le 15ème anniversaire de son fils.
vendredi 19 mai 2017
Vidéos de la semaine #1

Peut-être que vous habitez sur la planète Mars. peut-être que vous n'avez pas de temps à perdre sur les réseaux sociaux ou bien que vous avez une vie sans wifi (il parait que ça existe). Ce n'est pas grave car moi je veille sur
On peut ne pas être fan de Louane, de Benjamin Biolay ni de Bianca Li, voire même pas être fan de Cannes, mais le tout ensemble est drôlement charmant
On peut ne pas aimer le Portugal, les catogans, le jazz, les trophées en cristal ni l'Eurovision, mais c'est un peu compliqué de ne pas succomber à ce duo là - (cliquer sur le lien pour voir la vidéo)
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Salvador Sobral chante avec sa soeur |
mardi 18 avril 2017
Quand tu sais pas, t'as Carlos
Non Carlos n'est pas que le fils de Françoise Dolto ni l'interprète du tube planétaire Big Bisou sorti en 1977, en pleine période Punk. (Finalement, à bien y réfléchir, c'était peut-être lui, le vrai Punk de l'histoire).
Il a aussi sorti en 1976 un 45 tours sur lequel on trouvait sur la face A le totalement oublié (sauf de Roro et ses frères) "bougalou du loup garou", et sur la face B le encore plus oublié "Si j'étais Président", profession de foi super festive et ritournelle impeccable dont les paroles sont fixées dans ma mémoire depuis... mes 6 ans.
Une semaine à peine avant de partir d'un pas décidé vers les urnes remplir votre devoir citoyen, voilà de quoi envisager votre plongée dans les programmes des candidats avec entrain et bonne humeur :
vendredi 14 avril 2017
Déposez les armes et écoutez Juliette
Quand j'avais 15 ans, j'écoutais d'une oreille un peu désabusée cette musique française des années 70 et après 80, ces soirées Maritie et Gilbert Carpentier, ces Champs Elysées de Drucker et ces Balavoine en cuir.
Je préférais passer des heures à me tuer les yeux devant les Enfants du Rock et Philippe Manoeuvre, écouter Radio Neptune et enregistrer des albums de new wave et de rock anglais.
En 2017, Juliette Armanet ressuscite tout ça avec un twist qui le rend contemporain et c'est super bien.
Je préférais passer des heures à me tuer les yeux devant les Enfants du Rock et Philippe Manoeuvre, écouter Radio Neptune et enregistrer des albums de new wave et de rock anglais.
En 2017, Juliette Armanet ressuscite tout ça avec un twist qui le rend contemporain et c'est super bien.
Il ya les pistes douces et légèrement neurasthéniques (obligatoires de tout premier album on dirait), mais même là les paroles sont jolies et la voix est là, fraîche et franche.
Mais je vous recommande "Star triste" et "Samedi Soir dans l'histoire" avec de la pédale wawa, des paroles ciselées, une voix haut perchée et un tempo que ne renieraient ni Eric Serra, ni Billy Joël ni Michel Delpech ni même (et c'est pas rien) Nicole Croisille.
La bande son parfaite d'un grand week end avec cheveux dans le vent, air frais et tête qui tourne un peu après avoir bu un apéro avec des vrais bons potes dans le jardin.
Ci dessous la vidée de son premier single (qui ne va fâcher personne mais qui est un peu lisse et gentil comparé au reste de l'album)
dimanche 12 février 2017
Les bruits de l'Ile
Parfois, c'est sûr, vous ressentez le besoin de tendre l'oreille au bruit de la nature sans filtre alors que vous êtes assis sur votre fauteuil haute performance face à votre écran 92 pouces et que votre horizon s'étire en un camaïeu de gris.
Alors fermez la porte (ou mettez votre casque audio ce qui revient au même quand on travaille en open space) et accordez-vous le temps d'aller écrouter les bruits d'Ouessant enregistrés par Yann Tiersen pour son album EUSA (eusasound).
Je ne vous garantis pas de pouvoir recommencer à plonger dans Excel comme dans la Mer d'Iroise ensuite. Ni même d'avoir le coeur gai comme un pinson. Mais c'est assez irrésistible quand même.
lundi 30 janvier 2017
Original is never finished
Bluffée par l'énergie débordante de cette campagne ADIDAS, par le chant choral de la fin, par les paroles de Paul Anka, une sorte de regard rétrospectif sur la vie d'un homme mûr et pensif qui affirme, à propos de chacun des faits marquants de son existence : « I did it my way » (vous y verrez ce que vous y voulez, je ne fais que citer la page wikipedia de la chanson), ce qui n'a vraiment rien à voir avec Cloclo qui lève son col en pleurant sur un mariage tristounet, non ?
And now, the end is near;
And so I face the final curtain.
My friend, I'll say it clear,
I'll state my case, of which I'm certain.
I've lived a life that's full.
I've traveled each and every highway;
And more, much more than this,
I did it my way.
Regrets, I've had a few;
But then again, too few to mention.
I did what I had to do
And saw it through without exemption.
I planned each charted course;
Each careful step along the byway,
And more, much more than this,
I did it my way.
Yes, there were times, I'm sure you knew
When I bit off more than I could chew.
But through it all, when there was doubt,
I ate it up and spit it out.
I faced it all and I stood tall;
And did it my way.
I've loved, I've laughed and cried.
I've had my fill; my share of losing.
And now, as tears subside,
I find it all so amusing.
To think I did all that;
And may I say - not in a shy way,
"Oh no, oh no not me,
I did it my way".
For what is a man, what has he got?
If not himself, then he has naught.
To say the things he truly feels;
And not the words of one who kneels.
The record shows I took the blows -
And did it my way!
Yes, it was my way.
And so I face the final curtain.
My friend, I'll say it clear,
I'll state my case, of which I'm certain.
I've lived a life that's full.
I've traveled each and every highway;
And more, much more than this,
I did it my way.
Regrets, I've had a few;
But then again, too few to mention.
I did what I had to do
And saw it through without exemption.
I planned each charted course;
Each careful step along the byway,
And more, much more than this,
I did it my way.
Yes, there were times, I'm sure you knew
When I bit off more than I could chew.
But through it all, when there was doubt,
I ate it up and spit it out.
I faced it all and I stood tall;
And did it my way.
I've loved, I've laughed and cried.
I've had my fill; my share of losing.
And now, as tears subside,
I find it all so amusing.
To think I did all that;
And may I say - not in a shy way,
"Oh no, oh no not me,
I did it my way".
For what is a man, what has he got?
If not himself, then he has naught.
To say the things he truly feels;
And not the words of one who kneels.
The record shows I took the blows -
And did it my way!
Yes, it was my way.
PS : pour les puristes : cette publicité est l'oeuvre d'une agence américaine : JOHANNES LEONARDO
mardi 12 juillet 2016
Dans les oreilles de l'été #1
Si un jour ou l'autre vous avez aimé Johnny Clegg, Paul Simon, Dexys Midnight Runners, les Waterboys et la voix de Youssou N' Dour.
Si vous aimez les sons chauds, les harmonies folks les envolées qui prennent aux tripes et donnent envie de s'enfoncer les pieds dans le sable.
Alors, si vous ne l'avez pas encore fait, plongez dans l'univers de Mumford&Sons.
La vidéo ci-desssous a été enregistrée à la Philharmonie par les équipes de la Blogothèque.
Et ça va sans doute faire partie de la playlist de l'été ici.
lundi 13 juin 2016
Vitamin sea : la playlist de Jeanne
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Emma Louise |
Elle vous ont manquées les playlist de Jeanne, non ?
Quittez définitivement vos mines grises et vos humeurs moroses avec ce concentré d'air frais.
dimanche 6 mars 2016
Une fête à petits points
Aujourd'hui au Royaume Uni et en Irlande c'est la fête des mères et en France c'est la fête des grands mères avec son lot de café du même nom, les jonquilles qui vont avec et le p'tit coup de fil qui fait plaisir.
C'est peut-être pour ça - parce que je n'ai pas de coup de fil à passer, ou peut-être juste parce que le pull de Marguerite était décousu et que je ne pouvais décemment pas la laisser partir avec une trace aussi évidente du manque de rigueur de sa mère, que je me suis décidée à descendre du haut du placard ma boite à ouvrage.
Une boite à ouvrage qui parle très fort pourtant, raison pour laquelle je n'étais pas pressée de la faire sortir de sa retraite derrière les écharpes et les bonnets de l'étagère.
Vous m'opposerez qu'une boite à ouvrage ne parle pas et c'est vrai que, rationnellement vous n'aurez pas tort. Et pourtant quand je soulève le couvercle et que je mets au jour son contenu très foutraque, ce tout emmêlé me parle.
La paire de ciseaux et son étiquette "couture", le morceau de feutrine verte et ses aiguilles rangées dessus avec ses chas du microscopique au balaize, les pelotes de fil et le coton à reprises, la ribambelle de boutons et les deux dés tout bosselés, le bazar des épingles échappées de leur boite et les étiquettes à broder, les bouts de velcro et de tissu thermocollant.
(la suite après le saut)
dimanche 17 janvier 2016
La liste #1
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Maciej Pozoga pour Vice Magazine |
Cliquez sur le lien sous la photo et découvrez un super chouette article de Vice Magazine sur un sport études surf de Bretagne et des portraits de jeunes qui ont intégré cet établissement pour vivre leur passion sans lâcher leurs études. Pour les photos, ils sont habillés de marques de luxe et ils posent comme des pros. C'est un peu absurde et en même temps c'est beau parce que leurs réponses aux questions sont d'une simplicité sans fard. On dirait qu'ils ne sont pas dupes. C'est ça qui nous étonne, en fait au delà de toutes ces histoires de X, de Y et de Z qui tournent un peu la tête. Ils ne sont pas dupes et ils font leur chemin, goutant au passage les fruits sucrés qu'ils ont envie de gouter et délaissant les autres. Je me demande si nous avons jamais été lucides comme ça à leur âge ?
Le retour du Curly. Pas le gâteau apéritif interdit par les ligues de protection du bien manger, les esthètes et les frustrés des années lycées. Non les cheveux frisés. Mais bien frisés, hein, pas de demi-mesure. Voilà qui va faire plaisir à tous ceux qui peinent à détendre leurs boucles chaque matin. On en trouve sur tous les internets bien lancés, comme ici, et là aussi et là bien sûr. Très bientôt donc dans votre salon de coiffure une armée de fers à friser vont remplacer les lisser céramiques. Il est temps de re-re-re-regarder Flashdance.
Le retour de la fashion week marque le retour en très grande forme de Loïc Prigent et de ses citations foutraques et élégantes dont on ne se demande pas si elles peuvent avoir vraiment été prononcées par la clique de la mode qui se presse aux premiers rangs : "Je n'ai pas de clés. Personnel de maison vous comprenez. Et tant mieux, je les perdrais."
Tiens, et ça mérite d'écouter - très fort, la fenêtre ouverte et les bras qui embrassent le ciel en respirant à plein poumons, cette chanson des Canadiens d'Arcade Fire avec David Bowie en choriste de luxe, découverte il y a longtemps sur une playlist commentée par un artiste et qui disait que cette chanson s'accordait très bien à un lendemain de soirée.
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samedi 2 janvier 2016
S'accorder le spleen
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Emilie Quinquis - Ile d'Ouessant |
Quoi de mieux pour commencer cette année que quatre minutes vingt trois de Yann Tiersen en regardant cette photo, je me le demande. C'est iodé, reposant et légèrement cafardeux. Parce qu'entre nous on ne peut pas toujours être des winners de la win en running shoes flamboyantes et rock US dans les oreilles, sourire éclatant accroché sur la bouche comme une légion d'honneur.
Et que tant qu'à trainer au chaud en pyjama sur le canapé, autant que cela se fasse en plongeant dans les eaux de la mer d'Iroise.
Pour acheter les partition de Eusa et suivre ses aventures autour du monde en vélo, rendez-vous sur le site, en anglais, de Yann Tiersen.
lundi 23 novembre 2015
Quand Obama chante
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Barack Obama n'est décidément pas un Président comme les autres.
La vidéo de son hommage au Sénateur et Pasteur Clementa Pinckney, tué avec 8 autre personnes l'été dernier à Charleston en Caroline du Sud en juin dernier par un suprématiste blanc, a non seulement flirté avec les 3 millions de vues sur Youtube, mais figure aussi dans le prochain album de Coldplay, à paraître en décembre prochain.
En toute simplicité.
Il faut dire que cet hommage fout les poils comme on dit quand on a moins de 30 ans.
Jugez donc :
Info trouvée sur le The New York Times
dimanche 11 octobre 2015
La compile du dimanche : Bruce goes smooth
Recommandée par iTunes Music, la compilation des chansons douces de Bruce Springsteen, idéale pour se faire les ongles, s'avancer sur la semaine de boulot, trier le courrier, passer la salle de bains au vinaigre blanc, préparer du Granola maison, éplucher les légumes, s'assoupir dans le canapé, trainer sur Pinterest. Un dimanche réussi, quoi.
On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'il manque à cette playlist des monuments du Boss mais ça s'écoute bien quand même.
jeudi 11 juin 2015
Don't mess with the Flo
Manifestement quand ils ont écrit leur dernier album, les Florence and the Machine avaient les nerfs.
Au milieu d'un océan de pop sirupeuse d'Europe du Nord qui nous appelle à faire la paix intérieure en mangeant des Krisprolls sans gluten, leur appel à une révolte un peu sale est finalement assez réjouissant et donnerait presqu'envie de rechausser des vieilles Converse pourries pour aller danser dans un garage aux fenêtres planquées sous des sacs poubelle.
Il parait que cet album fait un carton en plus.
lundi 23 mars 2015
English vocabulary : Ebb and flow
ebb |eb|noun (usu. the ebb)the movement of the tide out to sea: I knew the tide would be on the ebb | [ as modifier ] : the ebb tide.verb [ no obj. ]1 (of tidewater) move away from the land; recede: the tide began to ebb. Compare with flow.2 (of an emotion or quality) gradually lessen or reduce: my enthusiasm was ebbing away .PHRASESat a low ebb in a poor state: the country was at a low ebb due to the recent war.ebb and flow a recurrent or rhythmical pattern of coming and going or decline and regrowth.ORIGIN Old English ebba (noun), ebbian (verb); related to Dutch ebbe (noun), ebben (verb), and ultimately to of, which had the primary sense ‘away from.’
Nous passerons rapidement sur le fait que la cadette, toute à sa découverte musicale, ne s'émeuve guère de ne pas savoir qui est Jacques Higelin ni pourquoi il est connu, ni pourquoi d'ailleurs sa mère lui en parle, alors que l'interprète de sa nouvelle chanson préférée de tous les temps s'appelle Izia Higelin, pas Jacques.
(… soupir…)
Nous nous concentrerons sur le rythme de cette chanson qui nous rappellera étrangement le début des années 90 et les boites de nuit au nom de poisson exotique sur des boulevards au nom digne de Fleetwood Mac.
L'énergie de la jeune fille qui a à peu près aujourd'hui l'âge que nous avions quand Seattle est sorti de la brume pour devenir the place to be, nous rappellera la nôtre, vers 2 heures du matin dans la boite de nuit au nom de poisson exotique. Quand on secouait nos cheveux longs les bras grand ouvert en tournant sur nous même comme des toupies ivres (alors qu'on ne buvait que du jus de goyave).
Et sans doute, sans doute, que nous nous surprendrons à écouter les paroles. En nous en sentirons étrangement rassénérés.
mercredi 19 novembre 2014
Une femme avec toi, Brigitte
![]() |
Sylvie Vartan - Crédit inconnu |
Oui, moi aussi Brigitte j'ai regardé avidement à la télé pendant des heures ces femmes extra-terrestres, habillées de paillettes, secouer leurs boucles élastiques ou leurs afros magiques en se lovant langoureusement contre des hommes à poils et col pelle à tarte. Je les ai écouté feuler des refrains entêtants que je devinais vaguement sulfureux ou franchement ouh la la pendant que mes parents râlaient, un peu gênés, et que mes frères faisaient mine de préférer leurs rockers énervés.
Comme vous aussi sans doute, j'ai décidé qu'un jour je serais choriste dans les émissions de Maritie et Gilbert Carpentier.
(la suite après le saut)
mardi 16 septembre 2014
Somebody to love
![]() |
Milk Magazine |
Pour bien commencer la semaine et s'aérer les oreilles, une reprise d'une chanson de Queen que vous connaissez par coeur par un choeur d'hommes de San Francisco, Chanticleer.
Ca pète bien.
mercredi 10 septembre 2014
La playlist de Jeanne : back on the chain gang
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Wit and Delight |
Finalement on ne s'en sort pas si mal de la rentrée, vous ne trouvez pas ? C'est vrai qu'on tend comme des élastiques rien qu'à l'évocation de ce mois de septembre, alors que finalement, quand on regarde derrière, devant et même là tout de suite, y'a pas de quoi s'enfuir en courant.
Ca nous donne bien le droit de souffler un grand coup avec cette nouvelle playlist de Jeanne.
Et avoir de nouveau 17 ans pendant 30 minutes ça ne se refuse pas.
Je suis très fan de la chanson "the fall" de Rhyemusic dont le titre n'a pourtant rien à voir avec son tempo très "champagne sur une terrasse en teck face au soleil couchant"et qui, allez savoir pourquoi, résonne comme du miel à mes oreilles déjà un peu trop habituées au bruit du transilien et d métro qui souffle. Ca marche aussi très bien avec les 10 premières secondes de FKA Twigs qui me téléportent.. ailleurs tout de suite.
mercredi 11 juin 2014
La playlist de Jeanne : en attendant la plage
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RueMag |
Envie de vous sentir comme une fille de 17 ans qui ne rêve que de plage, de maillots et de green juices au bord de la piscine ? Une fille qui rêve mais qui, en attendant des jours meilleurs, vit les fesses rivées sur sa chaise de bureau dans sa chambre, avec des post its sur les murs et des fiches stabilitotées dans tous les coins. Et qui pour se tenir compagnie entre Voltaire et Racine, écoute de la musique.
Pour une fois, laissez tomber Chicago, Kid Creole and the Coconuts et U2 et plongez avec délice dans la tête de Jeanne.
On y retrouve ma chouchoute Christine, des titres qui font shaker le booty mais aussi tout plein de morceaux au tempo lent qui donnent envie de voler au dessus de paysage sublimes, portés par une brise tiède, les yeux dans le soleil couchant.
On y retrouve ma chouchoute Christine, des titres qui font shaker le booty mais aussi tout plein de morceaux au tempo lent qui donnent envie de voler au dessus de paysage sublimes, portés par une brise tiède, les yeux dans le soleil couchant.
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