Celles qu'on attend depuis fin novembre - quand on a réservé la location, pour lesquelles on trépigne depuis mi janvier - quand on a réservé le bateau. Celles pour lesquelles on a fait les soldes fiévreusement - même si on sait bien qu'un maillot et deux paréos suffiraient amplement.
Les vacances, quoi.
Cette année encore, bénis soient les appareils photos numériques qui vont nous éviter de cruelles désillusions au retour de vacances - debout devant le comptoir du labo photo, à grimacer devant les souvenirs qu'on espérait merveilleux et qui sont juste... bons à jeter : sourire contraint, contre jour, trop de soleil ou pas assez, les pieds coupés et ce maillot.
Beurk. Mais comment a-t-on pu acheter un maillot pareil ?
Cette année grâce au bouton poubelle et aux applis de retouche photos, on sera flou quand on veut et beaux le reste du temps. Youpi.
PS : vous l'avez reconnue ? C'est (encore) Soledad (elle est trop forte)
PS2 : Scie jeux fée la tête sur lait faux tôt C queue géant face deux mois u noeud meuh te deux faux tôt gras feu ki meuh cri dessous
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire