Merci le panier fraicheur cette semaine.
Pommes, aubergines, pommes de terre, salades, poivrons. Et chou. Un gros chou pommé, frisé, luisant et rebondi.
Aussi incongru dans le paysage urbain que la pluie sur le pavé, le vent qui ruine le brushing et la tiédeur de l'air. Le chou c'est plouc, ça laisse une odeur de vieille ferme dans la maison et ça transforme tout humain en moteur à explosion. C'est synonyme de vieilles recettes de soupe avec des yeux dessus, de repas sans fin et de soirs sinistres d'hiver. Bououououh.
Le retour de manivelle du bio dans les dents des citadins proprets.
Gotcha, je t'ai bien eue, me nargue la bête sur la table.
PS1 : Mais moi je les aime les outsiders du Val d'Oise. Viens, mon gros, je vais te trouver un pot à ta mesure, convoquer quelques chefs étoilés made in Brittany et relever mon défi de la semaine : obtenir des oh et des ah des convives les plus exigeants du monde.
PS2 : mmarie, je ne résiste pas au plaisir de te tenter encore avec mes pois.
PS3 : Sylvie, même à Saligny, ils n'en font pas des gros comme ça.
:-)
RépondreSupprimerj'aime bien rentrer chez moi le mardi et découvrir le panier, il y à une semaine il y avait de feuilles de chou toscano, je ne l'avais jamais gouté
mais personne chez moi aime le chou, je suis obligè à le cacher dans une "torta salata"
recette pas terrible, je vais pas te la donner!
biz,
Paola
Oh merci pour les pois Véronique ! Ma quête n'est pas encore véritablement entamée (où trouver une aussi chouette toile cirée dans mes environs ?) mais à force je vais m'y lancer.
RépondreSupprimerEt j'adooooore le chou, tous les choux (de bruxelles, pointu, frisé, chinois...)
Celui-ci tu peux en farcir les feuilles avec de la chair à saucisse et cuire le tout dans une cocotte avec un fond de bouillon. Ou en lanières, sauté, avec du sésame et du curry. T'en dirai plus quand j'en aurai un dans mon panier. Bientôt j'espère !
Ce chou-là, il faut le préparer façon "Yvonne", j'adore !...
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