lundi 8 mars 2010

Midi pas à 14 heures




Un jour, ma grande copine Sybille m'a dit que plus des armoiries étaient simples, et plus cela voulait dire que la famille était ancienne. Pareil pour les drapeaux nationaux. Au début, on fait 2 couleurs et à la fin, on est obligé de customiser pour sortir de la masse, en quelque sorte.
En matière de produits et de publicité, c'est pareil.
Au début, on appelait Jécho les pantoufles en poil de lama. Ou bien on représentait une girafe pour symboliser que le pastis était hautement apprécié.
On faisait appel à des illustrateurs canons et hop on investissait les culs de bus, les murs des bistrots et la quatrième de couverture de "Bonne Soirée".

Aujourd'hui, on dirait que c'est beaucoup plus compliqué.


Jorj Morin, l’œuvre publicitaire
Editions Herscher

Jorj Morin, Nantes et la pub
Château des ducs de Bretagne
Musée d’Histoire de Nantes
Jusqu’au 2 mai 2010

PS : C'est CB qui m'a donné l'occasion de vous parler de ça.

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