mardi 23 août 2011
Power On
Alors les gars va falloir balancer la sauce.
Le bouquet final dès le premier jour, le lapin agile qui saute du chapeau et le quarté dans l'ordre.
Parce que là, je rentre de 4 semaines en paréo et les pieds nus, où mon seul exercice intellectuel a été de mener des comparatifs de Canistrelli au goûter. Et encore, pas plus de 5 minutes d'affilée. J'avais à faire.
Quatre (4) semaines à lire des romans, des recettes de cuisine et des dos de paquets de céréales.
Et je n'ai pas encore tout à fait compris pourquoi au juste je suis rentrée.
Alors j'espère que vous avez bien bossé vos manuels de motivation de salariés parce que je pars de très très loin. Attention, hein, je n'ai pas la larme à l'oeil, mon petit coeur a fait boum quand j'ai tapé "rentrer à la maison" sur le GPS et je me suis laissée tomber de bonheur dans mon canapé.
Je n'ai même pas le blues dit "du sable au fond de la trousse de toilette".
Mais je crois que c'est pire.
J'ai tellement bien déconnecté que je ne sais plus où est la prise.
PS : photo saisie à Arles à l'ébouriffante expo "From Here On". Je vous en reparle bientôt mais d'ores et déjà, je vous recommande cette analyse critique de haute volée ici.
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Chère Véronique,
RépondreSupprimerBon retour dans ce monde constamment plus hallucinant aujourd'hui qu'hier. N'aie pas peur : laisse-toi porter et sache que ta phrase "J'ai tellement bien déconnecté que je ne sais plus où est la prise." est déjà pour moi une citation d'anthologie...
Annnnnnnnnnne D