Maman, tu l'as mis où mon maillot de basket ?
Dans la buanderie, il est sale, j'ai pas eu le temps de le laver.
Mais j'ai un match aujourd'hui ! Contre la Saint Ro.
Ah ! Je suis désolé mon chéri, mais j'ai pas fait de machine de couleurs hier. C'est pas contre l'ASPTT que vous jouez aujourd'hui ?
Parle pas de malheur, maman, la dernière fois on n'a même pas eu le temps de chercher où était le ballon qu'ils nous avaient déjà mis 15 points. Ca m'a coupé l'appétit. J'ai même pas bu mon Sic Orange après.
La Saint Ro c'est mieux ? Ils sont moins forts ?
Ils sont jouables. Ya Jacques et Eric dans l'équipe.
Je vais voir si je peux laver ton maillot à la main. Avec le vent qu'il y a, ce sera peut-être sec pour tantôt. A quelle heure le père de Nicolas vient te chercher ?
C'est pas le père de Nicolas, c'est celui de Robert. Avec la R15. On part à 2 heures. Avec un peu de chance, on sera rentrés pour Stade 2.
Fais moi penser à te donner 1 Franc pour nous appeler de la cabine quand tu auras terminé. Tiens, et n'oublie pas tes baskets, elles sont dans ton sac de sport
T'inquiète maman, mes Harlem, elles sont hyper super.
PS : merci à Café Mode d'avoir exhumé ce mythe. Poursuivez le voyage dans l'espace temps directement sur se site de Patrick Heritage.
PS2 : en vrai Jean n'a jamais eu des Harlem. Il a eu des Palladium noires avec des lacets rouges et puis des Americana et puis après des Top Ten Hi Sleek Adidas rouges et blanches. Mais jamais de Patrick, alors que moi si. Les hand ball blanches de la photo du dessus. J'adorais.
jeudi 2 avril 2009
Private Joke
J'ai vu Marc Jacobs ce matin à Saint Lazare. La preuve en image. Excusez la qualité paparazzi de la photo mais c'était trop énorme pour que je laisse passer ça.
PS : hein, c’est agaçant de rien comprendre aux private jokes ? C’est d’ailleurs pour ça qu’on les appelle des private jokes. Bon d’accord, en fait, j’ai pensé au divin Marc ce matin bicause il a un tatouage de Bob l’éponge sur le biceps droit et ça a fait tout un foin dans le microcosme parisiano-fashion qui bave devant tout ce que fait « le plus parisien des créateurs New Yorkais ».
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