mardi 7 mars 2017
Sans nu, Playboy était à poil
Ou bien "A force de trop vouloir partir loin de son histoire on finit par y laisser sa chemise" Ou bien "Quand un fils à papa aurait mieux fait d'écouter Aimé Jacquet en 1998", je ne sais pas pourquoi mais cette news 'inspire tout un tas de calembours pas très fins.
Lu aujourd'hui dans Courrier International, cet article du playboy daté du 15 février dernier qui raconte comment, un an après avoir lancé sa nouvelle formule garantie 100% textile, le fils de Hugh Hefner a fini par se rendre à l'évidence : "Naked is normal", sous entendu, on va pas en faire tout un fromage d'un téton qui dépasse, allez, hop, redonnez-nous les Playmates toutes nues (et pas cachées derrière des voiles) et que l'on retrouve une belle croissance à deux chiffres.
A l'origine, la décision de s'affranchir du nu intégral avait pourtant pour objectif de stopper l'érosion des ventes et de se démarquer d'un marché dit du charme, totalement spoilé par une industrie pornographique sans foi ni loi.
Las, cette décision, bien que saluée à son lancement, n'a pas eu l'effet escompté.
Comme quoi, finalement, on a rarement raison de délaisser sa raison d'être pour espérer durer.
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