Je suis retournée sur le blog aLOLaday ce soir.
Qui promet à ses lecteurs un LOL par jour.
Comme je ne suis pas contrariante et de nature heureuse, j'y suis allée pour m'en payer une bonne tranche et "me taper les cuisses en riant" comme faisait Charles Ingalls dans les livres de la Petite Maison dans la Prairie (quand j'étais petite cette expression m'intriguait beaucoup. Je ne saisissais pas le rapport entre hilarité et claques sur la cuisse ?!).
Et je suis tombée sur cette illustration.
Que celui ou celle qui ne s'est jamais senti très seul(e) au milieu de ses enfants me jette la première pierre.
Moi c'est en général autour de 20 heures 23. Entre les folles embrassades des retrouvailles et l'heure du coucher.
Le spécial trou noir du "éteignez moi cette télé, vous allez devenir des légumes" et les "tu pouvais pas me le dire plus tôt que tu avais pique nique demain ?" en passant par "peux-tu me dire où est ton lit ? Je peine à le distinguer dans l'amas de vêtements qui recouvre ta chambre".
En même temps si ce n'était pas mes enfants, j'aurais filé ma dem' depuis longtemps...