Manifestement quand ils ont écrit leur dernier album, les Florence and the Machine avaient les nerfs.
Au milieu d'un océan de pop sirupeuse d'Europe du Nord qui nous appelle à faire la paix intérieure en mangeant des Krisprolls sans gluten, leur appel à une révolte un peu sale est finalement assez réjouissant et donnerait presqu'envie de rechausser des vieilles Converse pourries pour aller danser dans un garage aux fenêtres planquées sous des sacs poubelle.
Il parait que cet album fait un carton en plus.