"Les déferlantes" de Claudie (et pas Julie, merci Delphine) Gallay. Je suis la dernière à les lire, il y a sur Google 25 liens vers des critiques du livre, toutes plus enthousiastes les unes que les autres, alors je ne me lancerai pas dans une critique. Mais quand même.
Jamais les 4 heures 30 de trajet entre Brest et Paris ne m'ont parues aussi prenantes. Courez-y si ce n'est déjà fait. C'est fort et c'est romanesque, râpeux et haletant, sombre et plein d'espoir, étouffant et iodé. Comme la photo ci-dessus, en quelque sorte.
Une délicieuse version de Just a Gigolo, et une autre de don't let me be misunderstood,et une autre des Stones par Bertignac, entendues par hasard sur Deezer pendant 1 heure d'écoute super chouette de leur "radio reprises - covers".
Des photos brutes de 70's dont celle de ce post. Après avoir passée une semaine dans les albums de photos de la famille, je m'y sens presque chez moi.
Et je regarde revenir au galop tous ces looks qui nous faisaient frémir il y a peu : les cheveux épais des Earth Wind and Fire, les grosses lunettes de premier de la classe, les pantalons trop courts et les grosses ceintures, dans un grand télescopage temporel.
Alors, demain, pourquoi je ne m'habillerais pas en Ziggy Stardust meets Emma Peel meets Jane Fonda ? Un petit aperçu sur le site de Nerd Boyfriend (tout un programme).
Une info marrante trouvée sur le nouveau site 24/24 actu, à lire et à découvrir sur le site du Parisien. et/ou directement sur youtube, avec une vidéo complète de sa prestation. L'incroyable prestation de Susan Boyle, solide écossaise pas très glam' de presque 48 ans, devant le jury de la "nouvelle star" locale.
Et pour terminer, la bande annonce de OSS 117. Vu ce vendredi. Vraiment drôle et chic et décalé. Et plus engagé qu'il n'y parait. Et cette BO !
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