Faire l'effort d'aller vers les autres, payer sa part d'humanisme avec grâce et bonne humeur. Franchir le périphérique symbolique des a priori pour voir si finalement y'a pas du bien aussi chez les autres.
Mais fermer la portes à tous les aspirateurs de joie de vivre, les tristes sires et sirotes dont l'unique but dans la vie semble de ne prendre que le meilleur de nous pour en faire des confettis sales.
Prêter l'oreille sans complaisance ni aveuglement aux flatteurs et aux flagorneurs qui ne font pas avancer ni ne nourrissent la machine.
Faire le tri dans les critiques et n'entendre que celles qui font du bien. Même si sur le moment, c'est piquant quand même. Et amer comme de la crème fraîche qu'aurait dépassé la date dans le frigo. Mais serrer les dents et en prendre de la graine.
Et garder l'oeil et l'oreille et le coeur ouverts pour ceux qui en ont besoin. Et qui nous le rendent bien.
Accompagnée, oui. Mais bien.
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