mardi 30 octobre 2012

English vocabulary : to dive in

This isn't happiness
diveverbthey dived into the clear water | the plane was diving toward the groundplunge,nosedivejump head firstbellyflopplummetfalldroppitchdive-bomb.the islanders dive for oystersswim under watersnorkelscuba dive.they dove for coverleapjumplungelaunch oneselfthrow oneselfgo headlongduck.nouna dive into the poolplungeswan divenosedivejumpbellyflopplummet,falldropswooppitch.a sideways divelungespringjumpleap.informal John got into a fight in some divesleazy bar/nightclubseedy bar/nightclubinformal (drinking) jointhole.


Plonger dans son lit la tête la première
Plonger dans le paquet de gâteau
Plonger sur la route pour avaler des kilomètres
Plonger dans l'herbe

Et plonger dans les pommes. Encore.



lundi 29 octobre 2012

Dans mon train


via Pinterest

Dans mon train il n'y a rien à voir dehors. Pas de montagnes ni d'étendues sauvages et magnifiques. Pas de mer ni de champs à perte de vue. Pas de vache ni de garde barrière.

Dans mon train, le voyage est surtout à l'intérieur.

Dans les pages de la jeune femme impassible qui lit 50 nuances de grey, roman sado maso, à 8 heures 50 entre Clichy et Pont Cardinet
ou dans celles de cette dame fort respectable qui attaque un chapitre de son Poche tout neuf intitulé "I'm not a dog". Yes indeed, you're not a dog, Ma'am, I can see that.
Dans les yeux des amoureux, heureux d'être collé serrés alors que leurs voisins ne rêvent que de quelques centimètres d'espace pour respirer.
Dans les oreilles de tous ceux qui entrent et sortent sans cesser de parler dans leur téléphone.
Dans les doigts des cadres sup scotchés à leur jeux d'adresse sur leur console portable.
Dans les mains de cette femme diaphane qui s'applique à revêtir les atours de la cadre sup - base matifiante, mascara, ombre et poudre, flush et rouge à lèvre
Dans les pieds des ados qui se trémoussent en se partageant des écouteurs.








jeudi 25 octobre 2012

Lego ça veut dire je joue






Voilà une vidéo qui me permet et de reparler de ce grand dingue de Félix (qui by the way a décidé d'arrêter sa carrière de casse cou parait il)  et de Jean de la Lune.


Une reproduction au 1:350 du saut de la stratosphère de Baumgartner.

C'est spectaculaire, parfaitement inutile, et donc un peu indispensable (via La Boite Verte)




mercredi 24 octobre 2012

la Victoire est belle


Il est des petits riens qui sont comme des nirvanas d'accomplissement personnel.

Félix Baumgartner, son truc c'est de se jeter dans le vide de très très haut avec un mini parachute ridicule sans même pouvoir hurler banzaï rapport à son scaphandre.
Karl Lagerfeld, c'est de promener sa houppette en racontant des vacheries sur... à peu près tout le monde.
Lady Gaga c'est de s'habiller avec des choses de plus en plus bizarre et d'appeler ça un costume.

Moi, c'est d'oeuvrer au rapprochement familial des chaussettes.

Apparier les coton taille 45, les Artengo taille 34 et les Miss Helen taille 38
Retrouver au fond du panier un petit bout de laine gris qui déplié, retrouve miraculeusement la mine de sa copine planquée dans le tas des orphelines grises en size bébito.

Comme un jeu de mémory géant, un défi à mon sens pratique.

Ce matin, j'ai compté 14 paires.
14 paires officielles, hein, pas des presque pareilles que "si mon chéri, en marchant vite, personne n'y verra rien". Non des frères et des soeurs de coeur et de sang, baignées dans le même bain de basket pendant de longues journée.

Et ça, ce n'est pas rien.
Un immense facteur de cohésion familiale, la garantie de gagner de précieuses minutes le matin, d'éviter des montées en vrille dans les tympans.

Le pied.



mardi 23 octobre 2012

Jean de la Lune et temps masqué








Petite fille, tu es dans la lune !
La maman se penche sur sa petite fille et remet une de ses mèches derrière l'oreille en lui caressant la joue.
A quoi penses-tu petite fleur ?  Vers quoi les nuages t'emportent comme cela ? 

Assise en tailleur par terre, la tête dans les mains et les yeux plongés dans le ciel, toute tranquille et détendue, les traits reposés et le regard vague, la petite fille n'entend pas la voix douce de sa maman, tressaille à peine sous sa caresse. Partie dans une petite bulle d'éternité, elle n'a que faire de ce qui se passe autour d'elle. Elle grandit, elle imagine, elle frémit aussi sans doute, laisse les lego des heures passées s'empiler et se ranger dans sa tête. Elle a tout le temps devant elle.

La maman s'éclipse et ferme la porte derrière elle. Sa petite fille est une rêveuse, elle est comme ça et après tout, pourquoi pas ? Elle aura bien le temps de se réveiller plus tard, la vie est longue et elle est au début du chemin.



Et puis, un jour, on grandit et notre temps est compté. On jongle en empilant plusieurs fois 24 heures en une journée. Il faut être efficace, rapide, décidé, opérationnel. 
On apprend à maîtriser le temps masqué comme on respire : faire les courses en discutant avec une vieille copine au téléphone, lire dans le train du matin, déjeuner en surfant sur Internet, faire réciter une leçon en se faisant les ongles.

On se souvient qu'il faut souffler aussi un peu.
Alors on industrialise son repos du corps et de l'âme.
On apprend à méditer, on "prend du temps pour soi", on "décompresse" et on "se défoule". On apprend le "lâcher prise".

Comme si on avait enfoui Jean de la Lune trop loin en nous pour ne plus le retrouver.




lundi 22 octobre 2012

Maddie the dog



Ce blog, Maddie the Coonhound fait parler de lui depuis quelques mois déjà.
Je ne sais pas trop si c'est vraiment drôle de prendre son chien comme une marionnette dans des postures étranges et décalées mais là, ce soir, alors que Noé est en train de terminer ses emplettes et que son arche va bientôt quitter la rive (non, mais sans rire, c'est quoi ce déluge ?), je suis retombée dessus. Et définitivement sous le charme.

De la mine stoïque de ce chien, quoiqu'invente son maître
De la qualité de la prise de vue et des lumières
De l'élégance polie et ironique de l'ensemble







jeudi 18 octobre 2012

Ca c'est Paris


A conversation on cool

Ce matin, chez Carette, place du Trocadéro.
Un salon de thé très comme il faut, très Paris de carte postale où les serveuses attendent à l'entrée avec leur tablier blanc, où les céramiques le disputent au cannage des chaises niveau "estampillé typique".
Avec des couples de jeunes qui arrivent en moto, un vieux couple qui arrive en berline, les serveuses qui préviennent quand les pervenches attaquent la file de voiture en double file.
Le café au prix de la cafetière
Le petit déjeuner servi avec des demi baguettes toastées et de la confiture
Le café au lait avec du café d'un côté et le lait de l'autre
Des toilettes avec des petits carreaux couleur jaune pâle par terre.
Et sa surpopulation de chemises blanches et complets foncés, de sourcils froncés et de smartphones.

De quoi entretenir le mythe de Paris de carte postale.


(au retour dans le métro, j'ai retrouvé cette odeur RATP de caoutchouc chauffé, de détergent et de chaleur grillée. Pas de celles qu'on respire à pleins poumons comme le maquis corse ou l'air de la Mer d'Iroise, mais assez caractéristique et plaisante pour me rappeler mes premières semaines dans la capitale, à moitié fascinée et à moitié terrorisée aussi)





mercredi 17 octobre 2012

Tous dans le même (Petit) Bateau




Les opérations de mécénat ou de storytelling des marques ont parfois le goût du plastique et de la colle en kit. Ce n'est pas qu'elles sont ratées, mais c'est plutôt qu'on n'y croit pas vraiment.
Petit Bateau a au contraire non seulement un patrimoine en or, mais en plus des idées suffisamment chouettes pour qu'on ait envie d'écouter.

Dernière en date, l'exposition photo réalisée à Troyes avec les salariés de l'usine Petit Bateau par le photographe Stéphane Rémael





D'autres clichés et la présentation formelle de l'exposition sur le blog de Petit Bateau.



Vous ne trouvez pas que ça ressemble à ces photos de Dulce Pinzon sur les héros invisibles ? On y trouve la même volonté de célébrer les travailleurs de l'ombre, ceux auxquels on ne fait pas très attention. Et c'est chouette, non ?









PS : Petit Bateau, j'en ai déjà parlé ici, et puis là aussi,

mardi 16 octobre 2012

La vie de star n'est pas un long fleuve tranquille




Brad est un homme qui prend des risques.
Déclamer le parler creux en 20 leçons avec une mauvaise chemise en lin mal coupée pour vendre un parfum mythique, ou bien jouer à se grimer pour incarner des célebs du même club de celebs que lui.

Comme Bob Marley dans le magazine Interview.
How impressive, isn't it ?





Bon, Steve, si tu pouvais lui souffler 2-3 trucs ?


PS : la Parodie du Petit Journal est hilarante (il faut aller directement à la minute 15)

dimanche 14 octobre 2012

La gadoue


via Swiss Miss via A Cup of Jo

Les Anglais en connaissent un rayon niveau pluie.
Alors quand une expo propose aux Londoniens de passer à travers un rideau de pluie sans être mouillés, ils se précipitent. 
Point de mystère ni de poudre de perlimpinpin mais des caméras qui cartographie les mouvements et commandent la pluie pour qu'elle entoure le visiteur sans jamais le toucher.
Le tout dans le noir et sur une scène de 100mètres carrés seulement éclairée par un projecteur unique.

(à la Barbican’s Curve Gallery, organisé par rAndom International)


Sinon pour échapper à la pluie, on peut décider d'aller faire un petit saut en chute libre en démarrant largement au dessus des nuages, genre 39 kilomètres, histoire de prendre une bonne marge.
Je n'aimerais pas être à la place de Madame Baumgartner quand son fiston se met en tête de nouveaux défis. Euh, chéri, tu veux pas faire comme tout le monde le dimanche soir et te vautrer dans le canapé avec des Pim's ?





jeudi 11 octobre 2012

English vocabulary : a clue


clue |klo͞o|nouna piece of evidence or information used in the detection of a crime or solving of a mystery: police officers are still searching for clues.• a fact or idea that serves as a guide or aid in a task or problem:archaeological evidence can give clues about the past.a verbal formula giving an indication as to what is to be inserted in a particular space in a crossword or other puzzle.verb ( clues clueing clued with obj. ] (clue someone ininformalinform someone about a particular matter: Stella had clued her in about Peter.PHRASESnot have a clue informal know nothing about something or about how to do something.ORIGIN late Middle English: variant of clew. The original sense was a ball of thread; hence one used to guide a person out of a labyrinth (literally or figuratively). Sense 1 of the noun dates from the early 17th cent.


On cherche tous des indices, des petits cailloux sur la route, des amers qui nous guident.
Après le renversant de beauté texte de Kipling (if), Mère Theresa est une autre piste. Pas easy easy, mais suffisamment ambitieuse pour nous occuper très longtemps. C'est déjà ça.





mercredi 10 octobre 2012

Ups & downs



Christopher Moloney sur Houhouhaha

Après un mois de fashion weeks, les journalistes de mode sont épuisées, les blogueuses dépixellisées et les photographes de rue sans peloche. C'est l'heure du bilan. Raf vs Hedi, Milan vs Londres, front row vs standing, les analyses sentent la paillette et l'asphalte.

Après un mois de rentrée, ben moi c'est pareil. Je quitte la piste aux étoiles deux secondes pour reprendre mon souffle et vous donner un petit insight vu de dessous et vous dresser, moi aussi un petit up and down, une chouette distribution de prix à visée de construction narcissique.

UP : qui dit rentrée dit trousse neuve, cahiers itou, grandes résolutions. On se sent prêt à démonter les étoiles une par une, choper son bac à 16 ans, passer sa balle verte.
DOWN : les vieux démons des années passées, sont là collés au mur et planqués dans les armoires et nous rappellent que certes on part sur du neuf, mais qu'il va d'abord falloir trier le vieux. Beaucoup moins drôle.

UP : les magazines regorgent de silhouettes plus séduisantes les unes que les autres. Affûtées, nouvelles, sexy, confortables. Je les veux toutes.
DOWN : pas vu l'ombre d'un magasin en vrai depuis le mois d'août. Et partie comme je suis, vais louper les "soldes de mi saison "aussi. Vais donc décider que finalement le combo slim-boots-chemise est très AW 2012.

UP : après trois semaines passées dans le dépouillement d'une maison de vacances spartiate car non habitée 300  jours par an, je suis hantée par des envies d'épure, de blanc, d'espace.
DOWN : après trois semaines de pluie de mousson, le linge ne sèche pas et mon sillage vénéneux d'ambre et de miel, véritable régal olfactif pour l'open space se dissout dans les vapeurs du linge humide façon chien perdu sans colliers. Du blanc, j'en vois certes, partout, des draps, des slips et des chemises qui sèchent dans tous les coins. Pour l'épure on repassera et  Viva Napoli !


UP : la vie est une fête, tout le monde a la pêche, on fait du sport, de la culture, on retrouve les copains, on fait des bonnes bouffes, on profite des derniers rayons du soleil, on a des projets faramineux, la télé reprend ses programmes, on est une famille formidable.
DOWN : il est 22 heures 35 et mes yeux se ferment seuls.





mardi 9 octobre 2012

C'est très clair



Avoir les cheveux courts, c'est se simplifier à mort la vie.
A bas les produits coiffants, le sèche cheveux, les shampooings secs et les jours sans.
Adieu les noeuds, les cheveux plats et les coiffures de bonne soeur
Les fourches et les longueurs fatiguées.
Les élastiques et les barrettes.

Super simple.
Super looké.
Très affirmé, très "je m'en fous que les hommes aiment jouer avec les cheveux, bla bla, on est en 2102, merde, je suis libre"

Rien de plus easy à vivre.
Comme mon soliloque de folle dangereuse devant la coiffeuse (qui m'écoute, stoïque)

"Alors, voilà Elisa, mes idées sont hyper claires. Je veux des cheveux courts mais en  même temps qui bougent, vous voyez ? Etre tout le temps bien coiffée mais en même temps pouvoir faire la différence avec 2 pinces ou une pincée de gel.
Regardez, je vous ai apporté mon Board Pinterest . Ah, vous connaissez pas Pinterest ?
Bon, c'est pas grave, mais regardez j'ai là 109 photos de coupes que j'aime bien un peu mais pas totalement, alors il faudrait me faire un petit mix de tout ça. Je vous fais hyper confiance.
Mais pas de petites mèches. Et puis je veux des pattes pas trop longues. La raie sur le côté. du volume mais pas de gonflant. Ca va, c'est clair ?"






lundi 8 octobre 2012

C'est juste avant l'automne mais vraiment plus l'été




Juste avant l'automne, mais bien après l'été, il y a ces quelques jours suspendus où la lumière est chaude et froide en même temps, où l'air est frais et commence à le froid et l'humide mais où les rayons du soleil ont un goût sans pareil.
Ca donne des heures qui consolent des jours qui raccourcissent, des chaussettes qui montent et des lessives qui sentent le chien mouillé.




dimanche 7 octobre 2012

Give Me More - Again and Again

Happenstance


Depuis Facebook on like.

On like parce qu'on trouve ça beau, fort, émouvant, drôle

On like parce qu'on veut montrer à l'auteur qu'on l'aime lui, qu'on pense à lui, qu'on a envie de lui dire coucou de loin comme ça

On like parce qu'on veut faire partie de la communauté de ceux qui aiment, qui suivent, qui supportent un auteur. On est ensemble, on aime la même chose, ça rassure, ça réconforte, ça rend fier même parfois.

On like parce qu'on a envie de se faire bien voir de machin qui admire vachement l'auteur : oh c'est vrai, tu adore, Truc ? C'est dingue, moi aussi.

On like parce que comme ça tout le monde voit qu'on est ami de l'auteur : ah Chose ? Ouais, je le connais depuis des années. On s'est un peu perdus de vue mais on a vécu des trucs très forts.


Et parfois on like pas.
Rien, nada, silence.


On like pas alors qu'en vrai on aime mais on veut pas faire lèche botte : bon, ça va, c'est vrai elle est drôle, mais bon faudrait pas qu'elle croit que je suis une groupie non plus, j'ai mon intégrité.

On like pas parce que même si c'est beau, fort, émouvant, drôle, on l'a déjà vu alors on veut pas faire genre "c'est nouveau" alors qu'en vrai "on sait que c'est un vieux trucs, genre #old quoi".

On like pas parce qu'on connait pas si bien l'auteur et qu'on n'ose pas s'immiscer dans une communauté dont on se sent un peu éloigné.

On like pas parce qu'on n'y pense pas sur le moment et qu'après on oublie.






jeudi 4 octobre 2012

La musique dans mes oreilles : BOY





(L'avantage de l'open space, c'est qu'on se voit, on se vit tous ensemble toute la journée. L'avantage de l'open space, c'est qu'on peut mettre un gros casque bien isolant et écouter ce qu'on veut pour recréer des frontières invisibles et sans bruit pour travailler sans être distrait par la vie autour).



BOY est un duo pop allemand trendy composé de deux jolies filles (non ce n'est pas un oxymore à étages) qui ont embauché entre autres pour leur premier album le batteur de Phoenix, Thomas Hedlund. Ca donne une pop joyeuse et mélancolique, douce et énergique (non ce n'est pas non plus un oxymore).
Parfaite pour tomber un keynote en 1 heure.
(Ou faire le ménage)
(Ou relire un contrat)
(Ou faire de la paperasse)
(ou lire un bon gros roman devant la cheminée)







mercredi 3 octobre 2012

Nananère


House of Milk

Mercredi matin, si on ne peut pas courir et refaire le monde en 58 minutes, on se pose dans la cuisine, sur la toile cirée.
Chacun son Mac et un pot plein de café frais.
On parle, on pin, on maile le bureau, on se réconforte et on se marre en trempant de la viennoise au chocolat dans le mug brûlant d'abord et puis tiède après.
Pendant que la terre entière se réveille dans les brumes du milieu de semaine, nous on décide de mettre à la poubelle tout savoir vivre pour faire enfin 50 choses à la fois sans complexe.
C'est bordélique, extrêmement schizophrène et donc parfaitement jouissif.
Un gros pied de nez à la routine.
N'est-ce pas Mike and Keith ?


mardi 2 octobre 2012

English vocabulary : rad



rad 4 |ræd|
adjective informal
excellent; impressive: his style is so rad | a really rad game.
ORIGIN 1980s: probably an abbreviation of radical.




A really rad game, indeed.
Jouer dans du sable fin comme de la soie en poudre, à quatre pattes et les doigts qui piquent.
Faire semblant de râler devant l'appareil photo
Oublier qu'on est grand et retomber en enfance en même temps que dans les pâtés
Rester debout et regarder les bateaux rentrer dans le port à marée montante
S'abriter sous le parasol pour lire un magazine ou finir un tricot
Se perdre les yeux dans l'eau en se réchauffant dans une serviette après un bain sans fin





lundi 1 octobre 2012

Steve Miaou


The amazing story of the flying Electra via Pinterest


Enfin, réunir dans un seul et même post, dans une seule et même image, à la fois Steve et un chat, c'est un peu un Graal de blogueuse.
De quoi bien terminer la journée la pire de la semaine.
Envisager le mardi avec confiance, joie et sérénité.


(Promis dès bientôt, je recommence à écrire des posts de plus de 4 lignes)



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