Téléphérique de Roosevelt Island. Lundi 25 mai 2009.
Le jaune des taxis qui fait écho au ciel bleu.
Allez hop, je vous laisse pendant une semaine.
Je cherchais une bonne raison de poster cette photo depuis un bon moment.
On a tous envie d'avoir une bande avec qui faire des bons gros hugs qui rassurent, boostent et recentrent. Des proches avec qui on s'amuse, on pleure, on rit, il y a des méchants et des gentils, et pour sortir des moment difficiles, avoir des amis c'est très utile. (Arrrgh ! Candy, sors de ce corps !).
Mais je vois que vous voyez ce que je veux dire et ce qui me fait aimer cette photo.
Et juste pour le plaisir et parce que leur disque sort lundi en France, le premier clip du nouvel album de Phoenix que vous savez déjà que j'aime, non ?
Crédit photo : Garance Doré
Dimanche soir, 21 heures. Dans la maison redevenue calme, on trouve :
Ce WE, je suis partie en Hollande telle une véritable globe trotteuse.
Mon organisation imparable n'a connu que quelques ratées. J'ai juste oublié 2-3 bricoles sans importance : un manteau, les papiers de la voiture, un GPS, une carte routière, et du démaquillant. En revanche, j’avais bien pensé aux tongs et aux maillots de bain. Ils prévoyaient du beau temps.
Je suis une voyageuse épisodique et tête en l’air, Un savant mélange façon shaker d'une vraie décontractée des kilomètres et d'une malade du « je suis sûre que j’ai oublié quelque chose, mais quoi ?… ». Accumulant les check lists hyper exhaustives avant le départ, et capable d'arriver à l'aéroport à 23 heures à la place de 11 heures du matin ou de partir en Suède fin décembre sans Moon Boots et avec des gants en cuir très jolis, très chics, et sans aucune utilité par -15°C.
Et mon compagnon de voyage est, hum,..., exactement pareil. (Comme on le dit sur les lignes de montage des usines Moulinex "qui se ressemble s'assemble", n'est-ce pas ?)
Dans 9 jours je pars à NYC et j’aimerais bien ne pas me rendre compte une fois de l’autre côté de l’Atlantique que je n'ai pas : de prise électrique US, l’adresse de l’hôtel, un coupe ongles ET une lime, de l’aspirine et un masque (…), des chaussures top confort et des chaussettes mille boucles, mes lunettes de soleil et mes lunettes de vue. Un parapluie et ma crème solaire. Du beurre salé et 50 dollars d'avance pour payer le taxi à l'arrivée à JFK...
Cet aveu de faiblesse avancé (aïe, j'ai mal à mon self-esteem), je me dis qu'il serait trop bête que je ne fasse pas appel à vos dons accomplis de Travel Manager, de Petit Futé, de Routard sans reproche et de rédacteur des City Guides de Vuitton.
Pour la première fois, j’ouvre donc cette colonne à vos suggestions d’indispensables. Laissez-moi des commentaires ci-dessous ou envoyez-moi un mail à unefemmeavectoi@gmail.com : LE truc indispensable ce que je ne dois surtout pas oublier et vous aurez ma gratitude éternelle.
Ou ne me dites rien ce qui me donnera l’occasion de vivre à coup sûr tout un tas de petites anecdotes rigolotes et de grands moments de solitude (à 2). Et à ce train là, on s’oriente vers un feu d’artifice.
Cher Maxime,
Je voudrais te remercier, vraiment, du fond du coeur. Depuis que ma route a croisé la tienne, ma vie est plus jolie et mon blog mieux rempli. C'est vrai, qui aurait crû que poster une photo de toi dans un billet consacré aux snobismes pourrait m'apporter ainsi des visites d'internautes from all over the World ?
Rends-toi compte, lorsque je regarde mes statistiques de visites (désolée, j'aime trop ça, les stats. C'est un peu une seconde nature chez moi), tu es le mot clé qui m'apporte le plus de visiteurs.
Tous avides de pouvoir mieux te connaître.
Tous admiratifs de ton palmarès (champion de France Crabos en 2005, ce n'est pas rien), de ta faconde et de ton look à mi chemin entre Hutch et ... Dave au saut du lit (furieusement tendance, je vous le rappelle).
A même pas trente ans, tu sais que je ne m'inquiète pas pour ton avenir. Tu iras loin. Au moins comme générateur de trafic. Pour le reste, je préfère que tu t'en remettes à tes coachs. Après tout, tu es libre, Max !(*)
PS : pour tous les vrais fans de rugby, qu'ils soient accros aux sport ou à ses joueurs (hum hum, les filles je vous ai démasquées), je vous propose de suivre ce lien (ici) qui vous mènera tout droit vers la page Wikipedia consacrée à Maxime. Mais que cela ne vous empêche pas de revenir de temps en temps. Maintenant que je sais que j'ai de vrais esthètes du ballon ovale dans mon lectorat, je vais peut-être penser à élargir mes sujets. Après tout j'écoute Europe Sport tous les soirs ET j'habite à un drop du stade Yves Dumanoir, ce qui fait de moi la fille spirituelle de Pierre Albaladéjo. Presque.
(*) Il r'garde autour de lui avec les yeux de l'amour / Avant qu't'aies rien pu dire, il t'aime déjà au départ /Il n'fait pas de bruit, il n'joue pas du tambour / Mais la statue de marbre lui sourit dans la cour. Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler(Hervé Christiani - 1981)
"L'opérateur T mobile avait fait un carton en Janvier dernier avec son Flashdance en plein milieu de la gare de Liverpool à Londres: 350 danseurs & une foule en délire.On peut dire que Jeudi 30 Avril dernier ils ont littéralement révolutionné le concept du "flashmob": T mobile a donné rendez vous à Pink et 13 500 londoniens sur la fameuse place de Trafalgar Square à 18h pour chanter tous en cœur Hey Jude des Beattles. Un total de 2000 micros ont été distribués et un écran géant installé sur la place pour le plus grand karaoké de l'histoire!
Une foule de 3 à 77 ans, des centaines de sourires, de l'émotion, des frissons, quelques larmes, de la complicité, de l'amour, des gens heureux & un melting pot incroyable: tous les ingrédients étaient donc bien réunis pour exprimer de la plus belle façon leur slogan:"Life's for sharing". Toute la scène a été filmée et montée en pub sous 48h pour une diffusion le samedi 2 mai sur itv1. "
Ayé, j'ai rempli tous les formulaires, vérifié les réservations, juré-craché que je ne suis ni une ancienne nazie, ni une dangereuse terroriste et que je ne profiterai pas de mes vacances pour voler le travail d'un honnête américain. Donné mon adresse, mon numéro de passeport, mon numéro de vol et précisé mon sexe. Toute parée je suis.
Craig Damrauer imagine et poste chaque lundi une équation imparable. Par exemple, ces deux-ci sont les preuves vivantes que de Paris à Strasbourg jusqu'à San Antonio, les parents sont tous les mêmes lorsqu'il s'agit de ne pas répondre non à son fils / sa fille... 
