vendredi 31 juillet 2009
jeudi 30 juillet 2009
Pendant les vacances nos programmes continuent
Vous me reconnaissez ?
Désolée mais j'en ai oublié plein plein d'autres. Une bonne raison de regarder tout le générique la prochaine fois.
mardi 28 juillet 2009
Comme un goût de déjà vu
Demain soir je suis en vacances !
Pour l'instant, j'ai un comme un goût de déjà vu. Les valises d'abord, oui,exactement comme là, mais aussi l'excitation de reprendre la voiture, comme je vous le racontais ici.
Et dimanche, je pourrai prendre cette photo là.
PS : la photo, c'est Jean et moi à la plage l'année passée. Nan en vrai, Jean porte un slip noir (pouvez pas le rater, c'est le dernier - ou le premier ? - à le faire avec classe. Mais il commence à lancer la mode. Si Si) et moi un maillot Liberty. Une autre classe que Gwyneth et Jude dans "Le talentueux Monsieur Ripley", non ?
A bas les boutons pression
lundi 27 juillet 2009
Etrange et drôle
dimanche 26 juillet 2009
Bande son d'un dimanche soir
samedi 25 juillet 2009
Très vintage et pourtant
vendredi 24 juillet 2009
Bon Week End
Vas-y Dean, fais-nous plaisir avec Line…
Relax-Ay-Voo
Dean Martin and Line Renaud ,(ici )
When you're too tense it's common sense to relax-ay-voo The more you earn the less you learn to relax-ay-voo We French you'll find are more inclined to relax-ay-voo Relax, relax, relax, relax-ay-vooYour doctor bills they hold for pills to relax-ay-voo You're in your prime so now's the time to relax-ay-voo The girls pursue those fellows who can relax-ay-voo Relax, relax, relax, relax-ay-voo
You're as tight as a drum You're as gay as a tune You better loosen up chum Your drum is apt to snap and go boom boom
And when you go they'll take your dough Cause it's tax-ay-voo (D) relax-ay-voo Get your sneakers and slacks and relax-ay-voo I don't have to try to relax-ay-voo Chum I'm much to numb to relax-ay-voo We French you'll find are more inclined to relax-ay-voo Relax, relax, relax, relax-ay-voo
Bub, I take a tub to relax-ay-voo Bub, I sit and scrub to relax-ay-voo The girls pursue those fellows who can relax-ay-voo Relax, relax, relax, relax-ay-voo
You're as tight as a drum I was loose as a deuce You're as gay as a tune I was light as a kite Better loosen up chum Your drum is apt to snap and go boom boom
And when you go they'll take your dough For a tax-ay-voo (L) relax-ay-voo Get your sneakers and slacks and relax-ay-voo Get your sneakers and slacks and relax-ay-voo
Ps : Crédit Photo Robert Doisneau “Palm Springs
jeudi 23 juillet 2009
Tabarly
Hier soir, sur Canal, on est tombés sur un documentaire sur Tabarly. 2008, filmé par Jacques Marcel, produit par Jacques Perrin, musique de Yann Tiersen. Du lourd.
Documentaire, Tabarly, Tiersen et Perrin, ouh là là, je zappe, vous dites-vous.
Sauf que, hier soir, je n'étais pas en mesure de discuter.
Deux jours avant, j'avais opposé un véto sans appel à Mike Tyson sur Arte.
Epuisée par la piscine, je n'avais pas le coeur de lutter.
Et puis Tabarly, j'ai pour ainsi dire grandi avec. La bibliothèque familiale regorge de Voiles et Voiliers, de Bateaux magazine, de Chasse Marée et de biographies de navigateurs. Je suis moi-même une équipière hors pair, la preuve en image (juillet 79, un mythe)
Je suis tombée dedans, la tête la première.
Ok, un homme au destin extraordinaire, un aventurier, un winner de sa race (autour du monde), des bateaux de légendes et des collègues trop baths. Un vrai navigateur qui ne sait pas parler aux journalistes - surtout australiens - qui reste modeste et qui se la pète (à raison).
Tout plein d'images qui me rappellent des souvenirs de petite fille, des noms qui résonnent un peu comme une berceuse.
Mais surtout, un vrai festival de looks que même GQ en serait malade de jalousie. Du short de bain rouge impec', de la vareuse, du jeans reboulé et du caban inaltérable. Du ciré Cotten en béton. Des peaux bronzées à gogo, paysages sublimes et vagues à couper le souffle. De la lunette oversize des femmes élégantes avec foulards noués sous le menton
Et le gars Eric et ses copains qui baladent leur plastique de rêve 100% huile de coude, le plus souvent torses nus. Qui se tapent dans le dos et partagent des moments plein de complicité virile. Tous avec un bonne tête d'apprenti loup de mer, les yeux plissés et le regard franc, totalement pas au courant de leur charisme, tout à leur rêve d'aventure.
Forcément, des détails que je repérais moins en 1979 quand je feuilletais Voiles aux toilettes.
(Je n'ai pas trouvé de photos satisfaisantes mais pour vous donner une idée, regardez la bande annonce ici.)
Ce matin, en sortant du métro, je suis tombée sur ça.
Je ne sais pas comment vous dire, mais j'ai souri. Me suis dit qu'ils avaient rien compris, les princes du bling bling gay italien.mercredi 22 juillet 2009
Olympique Piscine
mardi 21 juillet 2009
Dans la rue
Hier soir, je n'avais pas de magazine, pas de romans, pas de A nous Paris. Rien à me mettre sous les yeux dans le train. J'aime pas ça. Au début. Après je me dis que c'est chouette. Je regarde autour de moi et je laisse aller mes pensées.
lundi 20 juillet 2009
Au soleil et dans la lune
Encore des photos d’été que j’aime.
Je vais finir par m’en faire une compilation.
A mon retour je vous ferai un comparatif entre ces photos de rêves et mon interprétation perso sur la plage de Lava.
J’aimerais passer mes journées à imaginer des histoires autour d’elles.
Je suis un peu dans la lune aujourd’hui…
Comme dirait ma copine Carlotta, c’est sûrement à cause de Mickael Amstrong et de Neil Jackson. Entre les deux, c’est qui, qui gagne le concours de Moonwalk ?
Le 20 juillet 1969 j’étais en route mais pas encore là ; et mes souvenirs d’enfance, c’est plutôt la mort de CloClo et la Chute du Mur de Berlin.
PS : photos Toni&Raquel via The Cupcake Diary
dimanche 19 juillet 2009
Rendez-nous Ronald
Mc Do de Passy, dimanche 19 heures 45.
On se croirait chez Cojean. Ou au Daily Monop. C'est blanc et marron, super clean et super réconfortant pour nos consciences de citadins malmenés. Finies les couleurs criardes et la tête de serial killer de Ronald, les hamburgers dégoulinant de fromage et de ketchup et les frites qui frétillent plus encore que leurs pâles cousines Végétaline.
Aujourd'hui, manger Mc Donald, c'est limite plus sain que de manger Bio. Le magasin est couvert d'images de tranches de tomate, de (fausses vraies) bouteilles de lait en verre, de vases remplis d'herbe verte enfermés dans des vitrines de verre qui font paravent entre les tables. Des faux graffitis (blancs) sur fond (vert) exposent les conditions draconiennes de sélection de la viande. La clim est tellement forte qu'aucune bactérie ne se risquerait à montrer le bout de son doigt crochu, poilu et répugnant.
Même le magazine est aseptisé. Diane Kruger, Phoenix, Placebo, Guitar Hero et FaceBook. Maquette blanche et grise. Ya tout ce qui plait aux jeunes. C'est l'agence qui l'a dit.
A ce stade là, c'est plus du revamping, ni du greenwashing, c'est du lavage de cerveau...
Le menu n'a pourtant pas changé. Il est "plus gourmand", "plus sain", "plus plaisir" comme on dit dans LSA. Il y des salades, des wraps, des fruits et des tomates cerises.
En vrai, tout le monde prend un Menu Big Mac avec du Coca, voire des Nuggets sauce BBQ. Avant de terminer sur un Sundae au caramel.
Tout le monde mange avec ses doigts en 10 minutes en faisant passer le tout à grandes lampées de coca. C'est gras, c'est chaud, c'est croustillant. C'est pas cher.
10 fois dans l'année, j'adore ça. Et j'ai pas envie du tout qu'on essaie de me faire croire que je suis chez Weight Watcher. Va peut-être falloir arrêter de transformer tous les commerces de bouche en annexe de l'hôpital Béclère. On ne peut pas tout le temps se nourrir de ratatouille, de pain frais et de poisson vapeur. On peut pas vivre tout le temps dans une annexe du Grand Comptoir.
Rendez-nous Ronald, que diable, et laissez-nous mourir de faim 2 heures après avoir avalé 1 Maxi Best Of.
samedi 18 juillet 2009
Boum Patatras
vendredi 17 juillet 2009
Mythique
« Une inconnue a heureusement modifié les règles du rituel des pancartes, que les spectateurs tendent vers Springsteen pour réclamer une chanson en obtenant parfois gain de cause. Plutôt que d'inscrire son titre favori, l'ingénue a préféré s'autoproclamer "French Courtney Cox". Avant de devenir célèbre grâce au feuilleton "Friends", l'actrice américaine figurait en 1984 dans le clip de Dancing in the Dark. Elle jouait une spectatrice que Springsteen extrayait de la fosse et invitait à danser sur scène. Evidemment, le tube a été interprété, Springsteen a vu l'écriteau et exaucé le vœu de
Elle a fait ce que j'aurais adoré oser.
Ps : Je vous recommande le site des Vieilles Charrues et particulièrement la rubrique « les potins du Festival ». J'aimerais être une star pour pouvoir faire des caprices comme elles….
Ps2 : La photo est sur mon PC depuis un moment et j'en ai oublié l'origine.... Désolée mais j'en avais un peu marre des photos de Springsteen. N'est pas Steve Mc Queen qui veut non plus... Et je n'ai rien sous la main de satisfaisant. Hormis cette photo que je réservais pour ma prochaine visite chez le coiffeur. Mais c'est une autre histoire.
jeudi 16 juillet 2009
Ciné Club
Ce soir, pas de BlaBlaBlog, je regarde Fame.
Hungry Heart
J'aime Bruce.
Bruce est à Carhaix ce soir.
Dans ma ville natale.
Ca nous fait un point commun.
J'aimerais y être ce soir. Avec Bruce, mes frères, mes jolies-sœurs et mes neveux.
A sauter dans la boue et s'époumoner en sweat polaire. Dans un champ. Au milieu de nulle part. Où je suis née.
Got a wife and kids in
I went out for a ride and I never went back
Like a river that dont know where its flowing
I took a wrong turn and I just kept going
Everybodys got a hungry heart
Everybodys got a hungry heart
Lay down your money and you play your part
Everybodys got a hungry heart
I met her in a
We fell in love I knew it had to end
We took what we had and we ripped it apart
Now here I am down in
Everybodys got a hungry heart...
Everybody needs a place to rest
Everybody wants to have a home
Dont make no difference what nobody says
Aint nobody like to be alone
Everybodys got a hungry heart...
Crédit : site des Vieilles Charrues
mercredi 15 juillet 2009
Bureau
Chez nous les bureaux sont anonymes. Biscornus mais anonymes. Il m'a fallu quelques jours quand je suis arrivée pour saisir le système de demi étages qui relient les deux bâtiments. Encore aujourd'hui, j'hésite toujours quand je dois aller à la compta. C'est deux et demi ou un et demi ?
mardi 14 juillet 2009
Bastille Day
Dans Goomba ya des fruits
Introducing Goomba. Toujours selon Wikipedia, et toujours pour essayer de comprendre la joie de Maître Martin devant ce Monsieur Patate à l'air mal réveillé..
"Les Goombas sont orange ou d'un jaune brunâtre et ressemblent à des champignons sur pattes, avec des sourcils touffus et parfois des crocs. Ils sont bleus ou gris dans les endroits sombres et bruns foncé dans les zones nocturnes. Pour cette dernière couleur, le choix de la teinte provient probablement du besoin de montrer l'absence de luminosité tout en prenant en compte la palette de couleurs limitée.
Les Goombas blessent Mario s'ils le touchent depuis le côté ou (plus rarement) en lui tombant dessus. Cependant, ils peuvent être facilement tués si Mario leur saute ou leur tombe dessus. Ils sont généralement les ennemis les plus faibles dans les jeux Mario ; leur seul attaque consiste à marcher lentement vers le joueur et ils peuvent le plus souvent être battus en un coup. Dans les jeux vidéo de rôle Mario, ils sont de faibles ennemis trouvés au début du jeu, mais des versions plus fortes apparaissent par la suite."
Maintenant, vous aussi vous savez. Fascinant, non ?
Crédit : Maître Martin
PS : le titre de ce post fait référence à une pub des années 70 que je suis ravie de vous remettre dans la tête !
lundi 13 juillet 2009
Voyage en train
Après le voyage en voiture, le voyage en train.
Je ne suis jamais seule dans le train. J'ai Voici et Elle et un roman. Par exemple, Stephenie Meyer ou Claudie Gallay. Ou Alexandre Dumas. En Français ou en Anglais. Peu importe. Tant que l'amour est impossible et les murs trop hauts. Tant qu'il reste une once d'une larme d'espoir que les lèvres se rejoignent et les cœurs s'embrasent. La naissance d'un sentiment, les contrariétés et le feu d'artifice final.
Enroulée sur ma place. Petits Beurres et chocolat noir à portée de main. Une bouteille d'eau aussi. Et un pull autour du cou ou sur les jambes.
Et des heures et des heures devant moi. Dans ma bulle, indifférente à ceux qui m'entourent, plongée dans mon bouquin.
Pardon, d'abord, le magazine.
Voici, ça craint. Mon quotient hype en prend un coup. Alternatives Economiques aurait été tellement plus classe. Peut-être que j'aurais éveillé l'attention de mon voisin, l'intérêt de ma voisine ? Entamé une conversation à bâtons rompus sur la philosophie, l'art et la manière ? Rencontré une personne formidable, une globe trotteuse, une femme de tête, une future amie, ou un futur boss ?
Ben non, halte à l'escalade. Mon esprit aussi a besoin de platitude, de bassesse et de facilité.
Y céder dans le train n'est qu'une demi-abdication. Ca compte pas, c'est comme sur
Et pourtant.
Je n'y résiste pas.
Ensuite, le livre. Les première pages, l'eau est souvent trop froide ou l'odeur trop forte. Il faut que je m'habitue au rythme du récit, à la virtuosité de l'auteur. Parfois le style est réduit à sa plus simple expression ou bien enfile les aphorismes faciles, les tournures à la mode ou trop maniérées. Parfois c'est un peu long, il faut que je m'accroche, que je croque un carré de chocolat posé sur un petit-beurre ou que je change de position. Que j'abandonne toute résistance. Et puis, petit à petit, je deviens un caramel qui fond à la chaleur du récit et qui disparait dans l'histoire. Je suis happée et je ne lèverai plus les yeux.
10 minutes avant d'arriver, il faut que je m'ébroue. Que j'ouvre le rideau devant mes yeux et que je corne le coin de
L'autre jour, j'ai répété l'expérience avec les enfants. Sont pas mes enfants pour rien. Tous les 4 immergés dans nos livres. On n'a pas vu passer les 4 heures de Corail entre Bordeaux et Nantes. Pour la convivialité, on repassera. Mais on a fait bon voyage…
PS : Ecoutez « Place 54 » de Hocus Pocus et leur vision du voyage en train. C'est du Hip Hop trop bien.
PS2 : La photo vient de Life.
PS3 : Stephenie Meyer a écrit la suite des 4 romans de Twilight – les aventures romantico-haletantes de Bella la mortelle et Edward le vampire. Ne dites pas que vous ne le saviez pas.
dimanche 12 juillet 2009
Et si
Et si on quittait tout ? Qu'on changeait de vie ?
Oui, vous savez bien. On a tous en nous un rêve de vie idéale, un truc qu'on devra faire avant d'être vieux et aigri.
Une baraque dans dans la campagne qui résonne de cris d'enfants, une maison d'hôte, un magasin de déco, une boutique de fringues dans une ruelle pavée, écrasée sous le soleil. Ou bien une vieille maison en pierre qui fait face à la mer, sur une île, avec un grand bureau en chêne, un Mac dernier cri, un mug de thé bouillant et un roman qui s'écrit tout seul. Ou bien encore une pension de chevaux, un salon de thé raffiné, une galerie d'art à Manosque.
Des amis, aussi, pleins. Emplis d'une érudition discrète et éclairée. De celles qu'on n'étale pas mais qui rendent les apéros sous le figuier piquants, réconfortants, tellement intelligents. Si je ne vais pas à Apostrophe, Apostrophe vient à moi, avec le verre de rosé à la main.
De l'argent. Pas trop. On n'aurait besoin de rien, loin des tentations de la ville, coupés du rythme effrayant de la société du toujours plus. Juste assez pour garder 2-3 pulls en cachemire 12 fils, des Hunter pour arpenter la lande et un Range intérieur cuir. Et un pied à terre à Paris
On a dit changer de vie. Pas perdre le sens commun.
jeudi 9 juillet 2009
Mine de rien
Alors que l’on rêvent toutes (si, toutes) de perdre 2-3 kilos avant la grande épreuve du bikini, ces filles toutes toutes toutes maigres ne me font pas très envie.
Lea Groesland est norvégienne et vient de gagner le concours de mannequins « Ford » et « V magazine ». Elle aurait bien besoin d’une semaine au grand air, à manger du Nutella et à jouer au Badmington sur la plage… Ya rien d’elle dirait ma maman.
Backstage du défilé Givenchy (au marché du livre ancien dans le 15ème).
Finalement, on dirait bien qu’elles n’ont pas eu l’idée toutes seules d’aller s’empiffrer des merveilles de Max Poilâne. Et pourtant le panneau derrière elles dit bien "pas de filles sur le podium sans avoir mangé avant".
mercredi 8 juillet 2009
Transgenre
mardi 7 juillet 2009
Je twitte (again)
Si j’utilisais Twitter, ça donnerait ça :
7 heures 05 : encore dans mon lit. Depuis que MOF est en vacances et qu’Europe 1 est passée à sa grille d’été, je ne me réveille plus.
8 heures 35 : programme télé de "20 minutes". Zut ya Recherche Susan désespérément ce soir sur Arte. Des mois que j’ai envie de le revoir. Et un copain qui vient prendre l’apéro ce soir. Arrgh. J’ai compris je vais acheter le DVD. Ça m’évitera de faire la tête à 21 heures.
9 heures 30. Blog de CB news. Photo ci-dessus. Mais elle est pour moi cette enseigne lumineuse ! Est-ce que chez Duke, ils en mesurent toute la dimension inspirante ? Je suis sûre que la moitié de leurs salariés (pardon - collaborateurs) n'étaient même pas nés en 1973 et ne savent pas qui est celle qui a pris, en 1968 et le temps d'une chanson, le pseudonyme de Tuesday Jackson (quelle collision dans l'actualité me direz-vous - nous sommes peu de choses). Personnellement, j'en vois tout à fait l'usage au-dessus de mon ordinateur
11 heures 30 : j’envoie un mail pour demander à ma copine Carlotta ce qu’elle pense de la fiche pratique « bleach ton jeans toute seule » dans le Elle avec Jennifer Aniston en couverture. Ca me tente bien.
11 heures 32 : Carlotta m’apprend qu’elle a banni la Javel de ses placards. Parait qu’au BHV ya mieux. Tiens tiens. La fée du logis qui sommeille en moi rugit (et se rendort très vite)
12 heures 43 : les sous-vêtements Eres, ya pas à tortiller, c’est bien. Même (surtout) si ça dépasse un peu du t-shirt. Sans faire exprès bien sûr. Vous me prenez pour qui ? Vive le luxe.
12 heures 44 : manger pour manger ne me fait pas plaisir. Tiens, je préférerais encore prendre une pilule « repas équilibrée » que de me demander comme tous les jours où déjeuner en moins d’une heure dans le quartier. Je suis trop gourmande pour gaspiller des calories dans un sandwich mou. Un japonais à 13 heures ? OK
13 heures : je sors déjeuner
13 heure 48 : je rentre de déjeuner.
13 heures 49 : j’aurais pas dû manger le deuxième nougat. J’ai l’impression d’être un chirachi saumon géant.
13 heures 52 : j’appelle maman ? Nan… j’attendrai d’être ce soir à
14 heures 04 : Ayé. Je suis une bonne fille. Je peux me mettre au travail. Le temps se couvre. Ouf, j’ai bien fait de pas mettre mon linge dehors ce matin. AAAAAAAAAAA Bree, sors de ce corps !
15 heures 13 : oui, un camion stationne dans la rue pour faire une livraison. C’est intolérable ces gens qui travaillent et qui ne roulent pas en scooter comme tout le monde. Concert de klaxons. Je me demande si c’est bien utile ?
16 heures : j’ai pas lu la News de CB aujourd’hui. Han, c’est mal. Sur quoi tombé-je ? La dessus : La Corse s’adresse à ses insulaires. Pour sa nouvelle prise de parole confiée à Dixit-Media Corse, la collectivité territoriale de Corse lance une campagne à destination de la population résidente pour valoriser l’image du tourisme et en renforcer l’acceptation au niveau local. En affichage sur toute l’île de Beauté, en radio et en presse régionale et sur le web sur les sites d’informations régionales, la campagne déployée sous le logo "Qualité Corse" porte l’accroche bilingue : "Révélons le meilleur de notre nature, Femu scopra u più bellu di natura corsa". Et la signature :"U turismu hè l’affari di tutti".
AAAAh. Et l’image des insulaires auprès des continentaux, ils font quelque chose pour la renforcer ? Parce que moi j’adore la Corse, les Corses, le Géant de Mezzavia tout ça, c’est entendu , mais j’en connais qui sont – comment dire – plus réservés ?
16 heures 15 : je viens d’envoyer mon 4ème mail de la journée à Jean. Sans beaucoup d’espoir de réponse. Ils vont tous automatiquement dans une boite « pas urgent, c’est rien, pour la pause, pffft je verrai ça plus tard, c’est rien c’est ma femme ». Pas grave. Pour toutes mes copines c’est pareil. Je rêve qu’il ait un Blackberry avec réception des mails en push. Je lui en enverrais 2 fois plus. Avec le son.
17 heures 15 : je mange un brugnon. Après je me lave les mains parce que ça colle.
17 heures 30 : Caro m’appelle pour me dire qu’elle préfère me voir que faire les soldes. Son sens de l’amitié me touche mais je suis quand même inquiète. Pourquoi elle ne veut pas faire les soldes ? J’envoie un SMS à Jean pour lui dire que je bois un verre avec Caro. Il me répond dans
17 heures 55 : l’objectif des analyses multivariées descriptives c’est de décrire des phénomènes multidimensionnels en partant du principe que les résultats préexistent à l’analyse. L’analyse permet de comprendre la réalité décrite mais pas d’interagir sur elle. C’est quand même tout à fait différent d’une analyse multivariée explicative qui elle, a pour objectif d’expliquer un phénomène en fonction de plusieurs dimensions en rapport avec lui en partant du principe qu’il y a une variable à expliquer et des variables explicatives, c'est-à-dire qu’on peut poser une hypothèse et la vérifier en testant le modèle correspondant à cette hypothèse. On peut effectuer des hypothèses. Clair, non ? Non.
20 heures 07 : j'ai raté le train de 19 heures 57, la tuile
20 heures 30 : je viens de recevoir le magazine de "l'Institut Contrex" avec Véronique Genest plus connue sous le nom de Julie Lescaut en couverture et des titres super alléchants "plein feu sur le brocoli" ou "j'aborde la cinquantaine avec des envies plein la tête". Je me sens pas très en accord avec la cible.
23 heures 30 : le copain s'en va. C'est ce qu'on appelle un apéro qui traine
Minuit : Bonne nuit
PS : en vrai, j’ai Twitter mais je m’en sers pas pasque je comprends rien et c’est trop les boules d’avoir 0 followers (les 2 seuls qui ont voulu rejoindre mon groupe c’est 2 américaines que je ne connais pas). Vous n’y comprenez goutte à ce que je vous raconte ? Normal. C’est Twit.