Aux roots du Glitter

Une petite dose de glamour avant de (re)devenir la Reine des Pommes pour 4 jours. 

C'est pas du cinéma

Gregory Ferembach: The Movies Flowcharts via BrainPickings

Le storytelling c'est le nouveau Graal de la communication. Parce que quand on est inondés de messages contradictoires, on a tôt fait de se retrouver coincés au beau milieu d'un champs de bataille à compter les points.
Quand en plus les jours raccourcissent, un beau dessin vaut mieux qu'un long discours et allez savoir pourquoi on aime bien qu'on nous raconte des histoires qu'on comprend, avec un début, un milieu, et une fin. Si le tout en assaisonné d'amour, d'émotion et de frissons.

Mais c'est pas toujours facile facile d'arriver à la belle histoire. Pfffiout...

La liste noire des 5 questions interdites

Le Petit Nicolas

(Glané entre la rue Cardinet et le parc des Chanteraines. Fenêtes ouvertes, RFM en fond sonore, scrountch scrountch fait Marguerite en croquant dans son boudoir Nestlé bébé. Lala font ses grandes soeurs en secouant la tête, Bououh fait son frère en essayant de la faire rigoler. Et "@&# de crétin" fait sa mère qui vient de se faire chourer une place en or devant le Franprix )

Le top 5 des questions à ne pas poser à un enfant plus ou moins grand que vous croisez au détour d'une fête familiale :

1. Oh la la, mais tu as grandi ! C'est incroyable, ça, mais tu vas bientôt dépasser ta mère !

2. Tu rentres en CM1, mais c'est que ça devient sérieux, dis donc ! (et ses variations : Alors, pas trop dur le Collège ? Ouh, la la, la 3ème ? Le brevet en fin d'année c'est ça ?)

4. Elle est gentille ta petite soeur ?

5. Alors, c'est ça la mode à Paris ?


5 questions pour lesquelles vous recevrez comme unique réponse un sourire navré et contrit et l'impression tenace d'avoir franchi à tout jamais la frontière de la sénilité galopante.
Et la certitude désespérante d'avoir ainsi trahi la promesse que vous vous étiez faite vous aussi de ne jamais jamais poser ces 5 questions, dites "de l'ennui total de l'âge adulte".

La lose

Direct Matin

Thé à la menthe en octobre

Rules for my unborn son

C'est à peu près ce à quoi on peut rêver de mieux à la saison des chrysanthèmes, non ?
Vous le sentez, là, le soleil qui vous chauffe les paupières, l'appui doux et ferme  de votre chameau, le sable sous les doigts et le coton froissé qui s'enroule autour des jambes ?

Vénus et Mars - encore

Les hommes encore plus que les femmes ont un compte à régler avec l'enfance, non ?

Même avec du poil au menton, ils continuent à se la jouer roi du bac à sable dans leurs grosses cylindrées, à se mettre dessus dans leurs cours de récré devenues des stades, à fuir les filles et se déplacer en banc de poisson en ricanant bruyamment.
A se donner de grandes bourrades pour ne pas fondre en larmes quand ils ont un gros chagrin, à élaborer de stratégies et des manoeuvres de représailles pour traquer le tricheur et railler le premier de la classe.
Les hommes se rêvent preux chevalier qui sauvent leur pays et protègent leur nichée. Et toujours préfèrent les sales gosses géniaux aux bons élèves appliqués.




PS : la photo, c'est ma grande fille qui l'a prise...

Une petite mise au point

Anne Taintor

Et toc.

Keedz stand on the word

Extrait de la bande annonce de Polisse, le film que vous avez envie de voir, parce que vous n'avez pas pu passer à travers le plan média, le sourire énorme de Maïwenn, les témoignages émouvants de Karin Viard, les dents de Joey Starr et l'affiche. Même si sans doute on va se prendre une belle claque dans la tête.

C'est une bonne réserve à pêche cette chanson, de celle que l'on se met à fond dans la salle de bains le matin, ou dans les oreilles pendant le train ou dans la voiture sur la route d'une réunion super relou.


PS : Et parce que peut-être vous êtes passé à travers du plan media de Polisse, la bande annonce est ici.

Dinner !

Rue Lala

"Vous faites un dîner ? C'est pas trop tôt, on va enfin pouvoir être tranquilles" 

(Hxxxx, 9 ans)

(comprendre : diner de chips et coca, mater un film sur le Mac en bas, ne pas se laver les dents et se coucher, épuisé à 11 heures)

UGGcitrin

Une "vidéo hilarante" (sic Garance Doré à qui je l'ai piquée) à laquelle j'aimerais que ma grande fille adhère.
Quelqu'un peut-il m'expliquer cet amour immodéré des ados pour les UGGS ?
Et n'allez pas me dire que c'est là réaction épidermique de mère de famille qui se sent obligée de critiquer les choix vestimentaires de ses filles, hein.
Ca n'a rien à voir.
Les UGGS c'est objectivement moche, non ?

Face à Face

Ils sont tous les trois debout contre la cloison. Un jumeau et sa jumelle sans doute - même taille, mêmes yeux, même bouche, même nez, et une toute petite jeune fille qui flotte dans son tregging.

12, 13 ans peut-être.

Vraiment plus des petits et pas encore des grands.

La plus grande des deux a des traits d'eye liner maladroits sur les paupières qui contrastent avec sa mise bon teint. On imagine le crayon planqué dans le sac, le rétroviseur de la voiture du n°20 de la rue, le frère qui s'impatiente et les doigts qui tremblent. Ca lui donne un air curieusement dramatique et aussi attendrissant qu'elle le voudrait fatal. Elle affecte une moue boudeuse et un peu supérieure devant sa compagne de route, sans doute un peu moins sûre d'elle.

Son frère est perdu entre son oreille droite et son oreille gauche. Linkin Park ou David Guetta ? Je me demande ce qu'il écoute mais ça ne le rend pas hystérique de joie. Son visage est impassible et il n'a que faire des piapias des filles à côté, même s'il reste tout proche de sa soeur, comme son miroir masculin.

- "9 heures 02, si on arrive à 7 c'est bon on est à l'heure"dit la grande

- "Oh lala, faut que j'apprenne à marcher vite, j'y arriverai jamais" dit la petite

- "tu t'y feras, on va couper par la rue de Budapest"

Mais ça ne rassure pas la plus jeune qui se met à se ronger nerveusement le bout des ongles, qu'elle a (mal) laqués de rose malabar mat. Bouououh, en voici une encore qui a échappé à la vigilance maternelle avant de quitter la maison.

S'ensuit un long passage en revue des profs de l'école. tous injustes, pas drôles, sadiques dans les notes et vraiment pas coulants avec les nouveaux.

Un peu plus loin dans le couloir, coincée entre une dame emperlousée fort encombrée de son sac Carrefour et un monsieur imperturbable, le regard fixé au loin, une jeune femme à queue de cheval et stylo rouge, corrige des copies, annote, barre et s'exclame sur le papier. Elle travaille vite, elle ne voit ni n'entend personne autour d'elle. Ses copies, son stylo et son écritoire improvisé sur son cartable. On sent la première de la classe devenue enseignante après un parcours sans faute.

A côté de mes petites collégiennes, c'est elle qui ressemble plus à une élève.

C'est le week end

There is beauty

Hey, Jum', arrête de bouder c'est week end.

PS : Ici, la vidéo de la chanson "Funk you" de DJ Abdel et  Mister You, dernier hit des cours de récré avec son gimmick urticant "ça m'dérange pas, moi j'aime bien". Ah ça c'est sûr ma bonne dame, on est loin des Choristes.

C'est joli, c'est Nice

Nice est une ville au bord de l'eau. Une vraie ville avec ses boutiques de luxes et ses allées bordées de palmiers, son marché typique qui sent bon le Sud de Gilbert Bécaud. Et ses estivants en maillots qui passent devant Vuitton, ses vieux bronzés comme des Pepito et ses familles un peu hirsutes.

Sur la plage, entre deux parasols, il y a des galets. C'est joli vu d'en haut mais ça fait mal aux pieds. Il y a du bruit partout et tout le temps. Le vent, les jet skis, les voitures, les mobylettes et les orchestres de rue. Les drapeaux qui claquent et les avions qui décollent. La promenade des Anglais est large comme un boulevard, avec des sièges partout pour mater les baigneurs, la mer et les parachutes ascensionnels.

A 100 mètres de la plage, des villas endormies luttent comme elles peuvent, à coup de persiennes à l'ancienne, contre les programmes immobiliers grand luxe qui grignotent le paysage. Le silence vous tombe dessus comme l'ombre des ruelles.

Nice est une ville bordée d'un côté par les ferrys qui rallient la Corse et de l'autre par l'aéroport et son parking à jet rempli comme un oeuf de milliardaires et de starlettes. Une ville remplie de touristes qui ne font que passer quelques heures avant de poursuivre leur tour de la French Riviera.

Et de Niçois qui rient sous cape et s'en fichent bien de ce qu'on pense d'eux.
Eux ils ont l'exubérante plage, la fraicheur des ruelles, les boutiques de luxe et l'hiver sans doudoune.

Canal + et l'ours

Quand Canal+ (et son agence Euro RSCG BETC) font une nouvelle campagne pour leur offre cinéma, c'est toujours la régalade. Cette fois ci, je ne résiste pas à l'ours et à son vocabulaire de français qui se la joue anglais.

Typo extraordinaire

Founded via This isn't happiness

Bee per bebe

ici

Type everything

On aimerait bien que la vie soit aussi harmonieuse qu'un beau travail de typographe.

soupir.

Fur you

La fourrure Margiela du blogueur Bryan Boy, saisie au vol par StreetPeeper, vous fait de l'oeil n'est-ce pas ? Rien de trop pour passer inaperçu dans les transports en commun, la file d'attente à la Poste et chez le boulanger. Pratique et versatile pour avoir chaud aux oreilles mais pas aux bras - on a toujours trop chaud au bras (sans doute ?!)

Le plus dur, ça av être de trouver le mur bleu à balader avec soi.

From a mess to the masses

Dernière phrase de leur chanson Lisztomania et titre d'un documentaire, réalisé par Antoine Wagner et Francisco Soriano, consacré à Phoenix et diffusé jeudi 13 octobre à 22 heures sur ARTE
Miam.

From a Mess to the Masses - Wolfgang Amadeus Phoenix from Voluume on Vimeo.

Décousu

Sur la liste des pierres angulaires de la construction d'une carrière de blogueuse, il y en a une qui compte triple. 

Après la photo de petit chat et le compte rendu d'opération sponsorisée, voici une photo de moi en train de me prendre en photo, histoire de satisfaire mon petit Narcisse sans rompre la sacro sainte règle de la confidentialité en ligne - dès fois qu'un jour je me retrouve devant un recruteur - ou pire, ma mère, qui me montre goguenard une photo de moi en pied - ou pire, en maillot de bain. Voire sans maillot. Non, là vous voyez juste que j'ai un appareil photo, un miroir, des cheveux et deux mains. Enorme.

Se faire une carrière de blogueuse est drôlement compliqué.

En bas de page, tout en bas, là, il y a une nouvelle compil'. Celle du mois d'octobre, quand on troque le jus de papaye pour le chocolat chaud. Il y a du neuf et du modérément vieux. Et un morceau de Poco qui me rappelle que j'ai fait ma dernière année d'étude il y a pile 20 ans. C'est une drôle de sensation. C'est hier et il y a 1000 ans. 

Pomme Q

Une drôle de fin de semaine non ?

Pomme Q comme la fin de celui qui a remis au goût du jour les sous pulls noirs un peu larges, un peu délavés et qui nous a rendu accro aux pommes.

Pomme et Q parce qu'on en revient toujours là. Adam, Eve, le grand malentendu, tout ça..

Avec la sortie de route de Ivan Levaï, voulant défendre son amis DSK et précisant au sujet de l'affaire du Sofitel qu'il ne peut s'agir d'un viol "parce que pour un viol il faut un pistolet, un couteau..." (ici), ce qui a logiquement déclenché un torrent de réactions horrifiées alors qu'on pensait avoir une bonne fois pour toute touché le fond.

Et puis le Prix Nobel de la Paix, décerné à 3 femmes, 2 africaines et 1 arabe, dont l'une, Leymah Gbowee, s'est distinguée par sa manière très pacifique mais déterminée d'imposer les femmes dans la vie politique. Par la prière mais aussi parce que chez nous, on appelle "l'auberge du cul tourné". Le Monde le raconte mieux que moi ici :

"Lancée en 2002, son initiative originale voit les femmes - toutes confessions religieuses confondues - se refuser aux hommes tant que les hostilités se poursuivent, ce qui oblige Charles Taylor, ex-chef de guerre devenu président, à les associer aux négociations de paix."

Et pommes comme "saison des pommes", celle qui commence et nous tend les bras. Et dont on ne sera pas les reines, hein les filles ?

11 heures 32

Erik & Nipper investigate on Frecklewonder

A 11 heures 25, la cloche sonne. 7 minutes plus tard...

"Allo Maman, je ne te dérange pas ? (...) Ouf, parce qu'avant j'ai fait un mauvais numéro alors j'avais peur de me tromper encore. Aujourd'hui je suis content de moi, j'ai eu 2 A et 1 B. Et l'instituteur il a dit "bien Henri". Tu m'écoutes maman  ? Et Monsieur Klein il a bien voulu me rendre mon ballon ! Oui, je lui ai demandé et il m'a répondu oui. Je peux aller à l'école en t-shirt cet après-midi ? Tu sais j'ai bien fait de parler des Gogos dans mon programme parce que tout le monde en a parlé après. Oui, yen a qui disaient, ah oui un petit coin pour jouer c'est bien. Mais Julie elle m'a dit que j'avais pas compris et que les élections c'est jeudi prochain et pas ce jeudi. Bon je te laisse maman, bisous à ce soir !"

Le mercredi c'est la course

Pinterest

Kilomètre 0 : Mon t-shirt me colle tellement que je vois la forme de ma tartine à la confiture sur mon ventre. Mais mes chaussures brillent. Mon legging brille.  Je suis la Dita Von Teese du jogging. Quasi. Perrine pouffe mais bave devant mes New Balance à néon et se demande si Decath c'est faisable en courant. La réponse est non. Hé, en plus il est 8 heures 30, ils dorment encore. On règle nos applis runtastic en partant, on a trop de trucs à se dire. 50 minutes ça va faire juste.

Kilomètre 1 : finalement, il fait chaud, non ? On passe les portes du parc, ayé, on quitte le dossier "santé" pour aborder le chapitre "enfants" en le soupoudrant un peu de boulot.

Kilomètre 2 : un extra terrestre se pose à notre hauteur, adopte notre allure idéale, et commence à nous entreprendre comme le roi de la drague qu'il est. Nous saoûle de détails sans fin sur sa pratique sportive (10- 12 heures de jogging par semaine plus de la gym et des arts martiaux), son berger allemand (beaucoup plus résistant à la course que le Rottweiler), son film favori (Cowboys et Extra-terrestres, je vous le recommande) et nous quitte enfin après nous avoir donné son adresse mail (inspiré de David Carradine dans cette série des années 70, vous vous souvenez ? Mais si, dans la jungle) et demandé nos prénoms. Manque le clin d'oeil et la petite pitchenette sur nos joues. On a rencontré Patrick Chirac ! On attend 30 mètres avant de ricaner. Dis, tu crois que c'est à cause de mes chaussures ?

Kilomètre 5 : on prend des petites marches (qui montent) et des petits chemins (qui descendent). Non, ça fait pas mal, on fait mine de trouver ça super. On attaque un gros dossier là : les pompiers et leur inexplicable absence dans le parc ce matin. Ben alors, ils font la grève du sport ? Et qui va venir nous sauver des Patrick Chirac, hein, qui ?

Kilomètre 6 : On sort du Parc. Perrine pense qu'on va bientôt s'arrêter mais non. On dit bonjour à deux dames. Elles nous répondent avec un peu de jalousie devant notre foulée légère et nos rires gracieux. A moins que ce ne soit de la pitié rapport au brillant de mon legging et des plaques roses qui couvrent mon visage.

Kilomètre 6 et demi : quelqu'un peut m'expliquer à quoi ça sert de courir et de se faire mal comme ça ? On serait tellement bien devant un café crème et des petits beurre. Je hais le jogging. Bon, on va parler pour oublier. Et Marrakech, alors, t'as réservé un hammam ? Et dis donc faut pas rater la promo de Monop cette semaine, une bouteille de champagne Heidsieck achetée, une offerte. Non ? Si, je te jure.

Kilomètre 7 : on s'arrête. On stoppe nos Runtastic qui n'affichent ni la même distance, ni le même temps, ni le même dénivellé. Fiabilité totale. On décide de ne garder que les meilleurs chiffres en nous étirant telle Christy Turlington dans son DVD "Yoga for runner. A stunning body and a genius mind". Ok, d'accord, on fait trois petits exercices et on file dans la cuisine écluser une bouteille de smoothie. Perrine part chez Decathlon. Elle aime trop mes chaussures. 

Pssst : une offre de réduction sur la baby boutique Cookie and Milk à attraper sur l'Atelier d'A Côté.

Tease me

Contrex - Ma Contrexpérience - 97s from Marcel on Vimeo.

Je ne sais pas si vous êtes saoulées par ces publicités. Moi toujours pas. Imaginer que des passants se retrouvent au coeur d'un événement certes publicitaire, mais qui rompe la monotonie du quotidien comme ça, me fait sourire derrière mon écran.

Whoooo are you, who who

What possessed me

Ce soir, je fouine sur mon compteur de visite.
C'est mon quart d'heure d'auto-célébration coupable et histoire de la rendre encore plus coupable, je la partage avec vous.

Mon dessert, c'est d'aller voir la liste des requêtes sur les moteurs de recherche. Avec les mots "femme" et "avec toi"comme titre de blog, vous vous doutez bien que j'ai quelques égarements avec du X dedans. Mais l'inventaire renferme aussi des perles, de quoi en faire une belle parure double rang que ne renierait pas Sophie Fontanel.

Tiens, au mois d'octobre, je voudrais bien voir la tête de l'internaute qui a atterri ici après avoir tapé "campagne Obama 2007"sur son moteur de recherche. J'imagine le thésard chenu qui fait une recherche iconographique pour illustrer son rapport de 20 pages sur la "sémantique comparée des campagnes présidentielles américaines entre 1984 et 20012" et qui découvre, atterré et confus,  un grand déballage foutraque et fashionistique. Oups.

Et la jeune maman fraichement accouchée au milieu de la nuit, un enfant accroché à son sein et son mari qui ronfle à côté, qui tape "vagin après accouchement" ? J'espère au moins que je lui ai changé un peu les idées.

Quant à l'heureux propriétaire d'une maison de style avec cheminée en faux marbre véritable et qui, à défaut de Damidot sous la main, choisit l'auto-décoration et s'enquiert de conseils "comment habiller cheminée" ? Je vous conseille Castorama messieurs dame, j'ai deux (voire trois) bras gauches. Et le cheminées c'est vraiment pas mon truc. j'ai épousé un Castor Junior, je lui laisse totale autorité sur ces sujets.

Non, vraiment, je ne m'ennuie pas pendant mon petit quart d'heure d'auto-célébration.


Blague à part, mon grand générateur de trafic, c'est toujours mon favoris (ah ah jeu de mots) Maxime Médard et ... les Beatles. Rien sur les cerfs jusqu'à aujourd'hui. Je vais lancer une mode. Vous m'aidez ?

PS : et la chanson des WHO, elle est là. Faudra que j'y pense pour aller courir.

Sunday Mantra

Lucius Art

Une affiche pour le frigo, histoire de ne pas se laisser emporter par la morosité d'octobre, du demi trimestre qui s'arrête la semaine prochaine, de la dirlo qui interdit les tee shirts Zadig et du soleil qui n'en finit pas de bientôt partir, du chouchou qui souffle sur ses choux pour nous rappeler qu'il ne l'est plus (chouchou) mais grand dans ses habits tout 9. 

Pour se souvenir qu'ensemble on peut tout et que ces moments qu'on partage ensemble, c'est de l'or pur, tellement pur qu'il se fond et se glisse dans toutes les fissures de notre carapace.

Yep, ensemble, on est plus cool que n'importe qui.

PS : et allez (re)découvrir le blog d'Emmanuelle avec son nouveau design by Blogger. On croirait jouer au Memory, c'est trop chouette.

Julie Delpy et George Clooney mariés

Si ça vous a échappé cette semaine...

La bande annonce du prochain film de Julie Delpy qui délaisse pour une fois la côte californienne alla Woody Allen pour une comédie bien de chez nous qui se passe en 1979 sur la côte Nord (de la Bretagne), là où quand on déjeune dehors, on ne met pas de parasol histoire de profiter à mort du soleil.  La costumière a dû s'éclater..

George Clooney est marié ! Si l'acteur nous a déjà fait le coup de "je suis tellement un sex symbol que je préfère en rire", cette pub vaut son pesant de capsules rien que pour la tête de la jeune fille..

Un coiffeur qui donne envie d'aller chez le coiffeur, surtout là.

et un moule à tarte pour les indécis et les râleurs